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  • Catégories : Des expositions

    Du côté d'Amsterdam

    amsterdam.jpgPhilippe Viguié Desplaces  (Figaroscope)
    21/11/2008

    2004 Netherlands Board of Tourism & Conventions
    A l'approche des fêtes, Amsterdam propose cinq grandes expositions. A ne plus savoir où jeter les yeux.
     
    L'exposition qui commence. C'est celle consacrée à caspard David Friedrich et aux paysages romantiques. Elle se tient dans le joli Musée de l'Ermitage, succursale de l'Ermitage de Saint-Petersbourg. Pour l'occasion, neuf tableaux du grand peintre romantique allemand ont quitté la Russie. Mis en perspective avec des contemporains, c'est un voyage passionnant dans l'oeuvre d'un peintre qui a souffert d'un rappochement avec le nationalisme allemand. Jusqu'au 17 janvier 2009.

     

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  • Catégories : Des expositions

    Envie de voir:Exposition Jean Marais, l'éternel retour

    jean marais.jpgLe musée de Montmartre, à Paris, présente du 4 novembre au 3 mai une grande exposition consacré à Jean Marais, à l'occasion des dix ans de la disparition du comédien.
    (France)
    Festival du 04 Novembre 2008 au 03 Mai 2009

    L'objectif est de révéler les facettes méconnues d'un artiste aux talents multiples. Parrainée par Francis Huster, cette rétrospective réunira de très nombreux souvenirs et oeuvres de l'artiste. Le visiteur pourra admirer ainsi le costume brodé que l'acteur portait dans Peau D'Ane, mais aussi ses premiers croquis d'adolescent et le César d'honneur reçu en 1980.

     

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  • J'ai vu vendredi 14 novembre 2008:Les stéphanois au cinéma

    cinéma.jpgà la médiathèque de Saint-Etienne:

    Dates importantes de l'histoire du 7ème art, découverte des salles obscures et de l'ambiance qui régnait en ce lieu de loisir privilégié au XXe siècle : c'est l'occasion de présenter des documents originaux conservés aux Archives municipales tels que photographies, plans, programmes, affiches... et de réaliser un inventaire des sources de l'histoire du cinéma à Saint-Etienne.
    Exposition réalisée en partenariat avec les Archives Municipales

    http://www.bm-st-etienne.fr/abv/framesetPortail.asp

  • Catégories : Des expositions

    Masques. De Carpeaux à Picasso

    masque.jpgAdrien Goetz
    27/10/2008 | Mise à jour : 10:53 | .
     
    Il y a les masques japonais, parés des mystères du théâtre nô. Il y a les masques d'Afrique qui fascinaient les cubistes. Il y a les masques de la côte Nord-Ouest de l'Amérique qui inspirèrent La Voie des masques à Claude Lévi-Strauss. Tout cela est bien connu, archiétudié. Mais qui savait que l'Europe, au XIXe siècle, avait cultivé une culture des masques très originale, qui inspira Rodin, Bourdelle ou Picasso ? Ces masques, porteurs eux aussi de vertus magiques, scéniques, symboliques, n'ont rien à envier à ceux des cultures lointaines. C'est ce que révèle cette magistrale exposition conçue par Édouard Papet, conservateur au Musée d'Orsay, spécialiste de sculpture : ces masques français, italiens, allemands ne sont pas anecdotiques, ils forment un univers complexe, d'une richesse égale à celle dont témoignent les masques du Japon, de l'Afrique, ou de l'île de Vancouver. Ils ont eu, eux aussi, leurs usages rituels. Une Atlantide de masques inquiétants, grotesques ou sublimes, oubliés par les historiens de l'art renaît ici d'un coup. On comprend aussi, par rebond, pourquoi l'Occident fut si réceptif aux visages venus du Japon vers 1875 et aux sculptures africaines après 1900 : l'imaginaire européen parlait déjà le langage des masques.

     

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  • Catégories : Des expositions

    Expo "Mythiques amériques" au Musée de l'Image d'Epinal

    mythiques.jpgLes lorrains et le nouveau monde : images et rencontres…

    Comment des imagiers d’Epinal peuvent-ils bien représenter les indiens des plaines américaines sans jamais s’y être rendu ? Pourquoi Saint-Dié est-elle marraine de l’Amérique ? Saviez-vous que c’est un lorrain, ministre de la marine, qui a décidé de fonder une nouvelle colonie en Guyane en 1763 ? Et que Buffalo Bill était venu à Epinal avec son impressionnant Wild West Show ?

     

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  • Catégories : Des expositions

    J'ai lu:Figaro Hors-Série : Les soldats de l’éternité

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    L’empereur Qin et les secrets de son incroyable nécropole


    Isabelle Schmitz, membre du Comité de rédaction du Figaro Hors-Série, nous présente le numéro du mois d’avril 2008 consacré à l’armée enterrée de l’empereur Qin.


    Découvert en 1974 par des paysans alors qu’ils creusaient un puits, le mausolée de Qi Shihuangdi met à jour plus de 7000 statues façonnées il y a plus de deux millénaires.
    Merveilleusement illustré par Araldo de Luco, le hors-série propose un prélude à l’exposition de la pinacothèque de Paris du 15 avril au 14 septembre 2008. Les photographies mettent tour à tour en avant l’expression humaine des soldats, les détails (tels les coiffures, les armures) ainsi que des vues d’ensemble des troupes, nous faisant ressentir l’ambiance surréaliste, « magique » à la vue de ces statues qui ont traversé les siècles.

    Irina de Chikoff raconte l’histoire des temps originels de la Chine et l’avènement de l’empire du Milieu. Elle poursuit avec la vie de celui qui est vu comme le premier dictateur, bien qu’il ait été à l’origine de la nation chinoise, de la construction de la Grande muraille de Chine ou encore du premier code juridique de ce pays.
    Ce récit quelque peu romancé est complété par Alain Barluet, qui s’est rendu à de nombreuses reprises sur le site de Xi’an et qui en présente l’histoire.
    D’autres journalistes, sinologues, historiens, ou encore un des commissaires de l’exposition en la personne d’Alain Thote contribuent à présenter ces fabuleux trésors archéologiques ainsi que l’époque à laquelle ils appartiennent.

    En savoir plus :

    Poursuivez cette découverte avec Les soldats de l’éternité, exposition à Paris avec Lothar Von Falkenhausen commissaire de l’exposition.


    La Pinacothèque de Paris

    http://canalacademie.com/spip.php?article3012

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, Des expositions

    Je viens de lire:Camille Claudel, un destin malheureux, un talent exceptionnel

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    Un Hors Série du Figaro


    À l’occasion de la rétrospective Camille Claudel au musée Rodin en avril 2008, le Figaro Hors-Série propose un numéro autour de l’œuvre de cette artiste au destin tragique. Isabelle Schmitz, membre de la rédaction du Figaro Hors-Série, nous présente ce numéro exceptionnel.


    Extrait de l’éditorial de Michel de Jaeghere, directeur de la rédaction du Figaro hors-série :

    « Pas plus qu’à ses contemporains, ce n’est pas par son art que Camille Claudel s’est imposée à la postérité. Plutôt par un désastre : celui de son existence. Sa beauté, sa passion, sa folie, son enfermement. Sa mort était passée inaperçue, après trente ans d’internement au milieu des déments : elle était alors oubliée depuis longtemps. L’ouverture de la salle consacrée à son œuvre au musée Rodin en 1951, n’avait eu, à son tour, aucun retentissement. Interrogé la même année par Jean Amrouche pour un entretien radiodiffusé, Paul Claudel avait eu ces mots terrifiants : « Ma sœur Camille ! Ah, c’est un sujet terriblement triste et dont il m’est difficile de parler (…). La nature s’était montrée prodigue à son égard ; ma sœur Camille avait une beauté extraordinaire, de plus une énergie, une imagination, une volonté tout à fait exceptionnelles. Et tous ces dons n’ont servi à rien : après une vie extrêmement douloureuse, elle a abouti à un échec complet (…) Moi, j’ai abouti à un résultat. Elle, elle n’a abouti à rien (…) ».
    Elle n’avait abouti à rien. Elle n’avait obtenu ni fonction officielle, ni siège à l’Académie. Ni ambassade, ni médaille. Elle s’était contentée de poursuivre la beauté et d’y brûler sa vie. Perdue pour les grandeurs d’établissement.
    La redécouverte viendrait de la littérature, avec la biographie romancée d’Anne Delbée, Une femme (1982), que suivrait le beau film de Bruno Nuytten (1988), servi par la ressemblance troublante, incroyable d’Isabelle Adjani avec son modèle. Le succès populaire ouvrait enfin, à la grande oubliée, l’occasion d’une revanche, fût-ce parfois au prix de raccourcis saisissants. Camille Claudel, c’était une femme, un malheur, un destin. Une femme libérée des conventions étroites de la morale bourgeoise, qui s’était sacrifiée à l’admiration qu’elle portait, en Rodin, à un géant de l’histoire de l’art aux ridicules de notable, aux indélicatesses de grand mâle dominant. Une artiste brisée dans son inspiration par les contraintes de l’atelier. Une insoumise poussée à la folie par le manque d’amour et de reconnaissance […]. »


    « Le mérite de la rétrospective qu’organise aujourd’hui le musée Rodin est de compléter cette vision forcément simplificatrice en donnant à une œuvre trop longtemps méconnue la toute première place. De faire la part de ce qu’elle doit à la « syntaxe de Rodin », de ce qu’elle a de proprement novateur, par la peinture des états d’âme, l’emploi subtil de matériaux précieux, la volonté de rompre avec les canons de l’académisme, le don de transfigurer en allégories les choses vues. Le paradoxe est qu’elle nous offre, par là, l’occasion de parcourir la plus subtile des autobiographies. Non seulement, avec L’Implorante, L’Age mûr, par la mise en scène romantique de ses malheurs et de ses déchirements, mais, plus secrètement, par l’alternance des personnages aux yeux clos, concentrés, vulnérables, abandonnés à la promesse de l’amour ou tendus vers une beauté intérieure, inaccessible, avec les visages aux regards levés vers le ciel, comme aspirés par une espérance invincible (…). Camille Claudel n’a pas laissé d’autoportrait spirituel. Impénétrable, elle semble protéger de nos regards un secret indicible. »

    Sommaire

    Les mouvements de l’âme
    Journées de la vie d’une artiste
    L’extase et l’agonie
    Auguste et Camille
    La petit Paul
    La tension intérieure, entretien avec Aline Magnien
    Naissance d’un mythe
    A nous deux Paris
    Le silence et la mer
    L’emmurée
    Les vestiges du jour
    Le dossier de l’écran

    L’année Claudel
    Une saison chez Rodin
    Entretien avec Dominique Viéville
    Plaisirs et lectures

    En savoir plus

    Une grande rétrospective Camille Claudel est présentée au Musée Rodin à Paris du 15 avril au 20 juillet 2008

    Le Figaro hors-série est disponible en kiosque. Pour acheter d’anciens numéros, cliquez ici

    http://www.canalacademie.com/Camille-Claudel.html

  • Catégories : Des expositions

    Expo vue lundi 28 avril:LEÇONS DE CHOSES

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    DU 08/03/2008 au 18/05/2008
    Style : Peinture
    Lieu : Musée des Papillons

    Eloge de la découverte et de la curiosité, éveil des sens... Il y a dans l’atmosphère des leçons de choses, le plaisir oublié pour l’observation minutieuse, le discernement et le goût du détail.
    Mes peintures sont des palimpsestes dans lesquels on entre par le biais de distorsions spatiales, d’inserts, de repentirs. Interroger le thème des leçons de choses c’est évoquer l’idée de “mémoire” mais jamais dans une posture nostalgique ou passéiste.
    Simplement en acceptant de placer ma peinture dans une histoire.
    Une histoire de l’école, de l’homme, de l’art.
    Delphine Leviste

    Tarif :
    Individuel : Tarifs en vigueur
    GRATUIT pour les moins de 6 ans et pour tous le premier dimanche du mois.

    Entrée libre le samedi 17 mai de 19h00 à 1h00 du matin à l’occasion de la Nuit des Musées.
    Groupe :

    Horaires : Ouvert du lundi au dimanche de 14h à 18h
    Fermé le mardi.


    http://www.ville-saintquentin.fr/pages/popup/detail_e1.asp?id=113

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Expo vue ce matin à la galerie Nadar(jusqu'au 19 avril 2008): Abdelkrim Tajiouti

    Zero hero

    Dans le travail d’Abdelkrim tajiouti, il est souvent question d’introduire le spirituel dans l’art.

    En témoigne cette Mecque immaculée et déserte sweet, conçue telle une maquette, à partir de 42 kilos de sucre en morceaux. Ou bien la série crucified muslims, qui de la même façon, met en avant son héritage pluriculturel tout en grattant la plaie des traumas post-coloniaux.

    Une méthode pour plier un drapeau ? Des armes en savon ? D’inquiétants Mickeys en cire ? Autant d’installations minimales qui traitent par la dérision et l’ironie, du surarmement, de l’autodestruction et de la consommation à outrance dans le monde contemporain.

    Comme dans Zero Hero où des gencives rouge-sangs dévoilent le sourire macabre des victimes de la guerre. Que peut-on ajouter si ce n’est des miroirs qui reflètent les « dommages collatéraux » en démultipliant les innocentes victimes civiles ?

    Le positionnement de l’artiste dans une société occidentale happée par un monde en constante mutation est également au centre des préoccupations de Tajiouti. Lire la suite de cet article »

    1293483602.jpg931608433.jpghttp://artszin.com/

    Images: galerie Nadar

  • Vu ce matin:Exposition des oeuvres de Josep Pédros Ginestar du 27 mars au 15 avril à Casablanca

    729833566.gifL'artiste-peintre Josep Pédros Ginestar expose du 27 mars au 15 avril à la galerie de l'institut Cervantès à Casablanca ses dernières oeuvres sous l'intitulé évocateur "Je suis toi-même''.

    L'exposition reprend des oeuvres nées des expériences et des réflexions de l'artiste pendant les campagnes effectuées au Maroc par l'ONG Visio Sense Fronteras, et ce, dans le cadre de l'action que l'Agence Espagnole de Coopération mène au Maroc.

    Selon l'artiste-peintre, il s'agit d'une oeuvre qui surgit de la contemplation et de la praxis solitaire d'un artiste qui abandonne sa tour d'ivoire pour s'investir corps et âme dans la recherche du bien-être des pauvres. Le titre "Je suis toi-même'' du poète soufi Al Hallaj définit d'ailleurs clairement le sens du dévouement de l'artiste à la cause de ceux qui vivent dans la précarité.

    "Je suis toi-même" est une exposition qui a pour axe le cercle en tant que symbole de l'importance de la recherche. Une forme géométrique qui est aussi introduite comme référence à des éléments quotidiens en rapport avec l'expérience de l'artiste comme créateur et comme activiste social : l'£il, le sable du désert, les lentilles rondes des lunettes.

    La présence du miroir est révélée comme réflexion. Se regarder dans le miroir est avant tout prendre conscience de son existence propre mais aussi celle du monde qui nous entoure. Le miroir insiste sur le fait que le problème de l'autre, c'est aussi notre problème.

    La vie quotidienne que reprend l'exposition "je suis toi-même'' émane de l'austérité de la culture de la terre qui l'inspire : Cuillères de la Harira, places publiques, désert, tombées du jour, regards. Mais ce qui est austère cherche ici à être noble et rendre la beauté plus digne à partir de son humilité primitive tout en revendiquant aussi un espace pour l'art engagé avec l'être humain.

    MAP

    http://www.casafree.com/modules/news/article.php?storyid=14136

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    L'expo de ma copine Iman"TANGER VISIBLE" du 7 Mars au 30 Mars

    1753771179.JPG
    Exposition-Photos d'Iman Chair Haidar et de Rachid Ouettassi,
    organisée par la Délégation du  Ministère de la Culture,
    Galerie Mohamed Drissi d' Art Contemporain, TANGER.  

     

     

     

     

    GALERIE D ART CONTEMPORAIN MOHAMED DRISSI

    Ex Musée d'art contemporain
    Elle est logée dans une batisse de style anglais, ancien Consulat Britannique construit en 1890. La galerie Mohamed Drissi réhabilitée en 1986, offre à ses visiteurs un espace d'une surface globale de 276 m². Nommée précédemment le Musée d'Art Contemporain de Tanger , elle a été renommée en hommage à l'artiste Mohammed Drissi (1946-2003) en Galerie d'Art Comtemporain Mohammed Drissi.
    Adresse : 52 , boulevard d’Angleterre, 90000, Tanger .
    Site Web :  
    http://www.minculture.gov.ma/fr/GalerieMuserArtcontempora
  • Catégories : Des expositions

    Expo:Les esprits chinois grimacent au musée

    MARIE-DOUCE ALBERT.
     Publié le 03 mai 2007
    Actualisé le 03 mai 2007 : 10h28

    À Paris, Jacquemart-André présente une centaine de masques servant aux exorcismes.

    SI ON NE craignait d'irriter les esprits chinois, on dirait qu'ils ont une drôle de trogne. Ils sont tordus, cornus, joufflus. Et pourtant ils ont les honneurs du Musée Jacquemart-André, à Paris. Jusqu'au 26 août, l'exposition « Masques de Chine, rites magiques de Nuo » invite à rencontrer divinités et chasseurs de démons qui, depuis des millénaires, ont le pouvoir de conjurer le sort dans l'empire du Milieu. La centaine de figures grimaçantes qui cernent là le visiteur lui permet d'entrevoir une longue tra- dition d'exorcisme « pour la première fois en Occident, assure Jacques Lebrat qui, avec Yves Créhalet, assure le commissariat de l'exposition. Ces objets n'étaient pas connus il y a une vingtaine d'années, malgré une existence ancestrale. »
    Tirés de collections privées, les masques datent pour les plus anciens de l'époque Ming, « mais, poursuit Jacques Lebrat, le Nuo est une tradition qui remonte à l'antiquité ». Depuis ces temps reculés, et peut-être même bien avant, les Chinois se sont attachés, lors de céré- monies, à convoquer les dieux, incarnés par les masques, pour faire fuir les mauvais esprits. Nuo signifie d'ailleurs « expulsion des démons ». Jacquemart-André convoque donc de malfaisantes figures, mais aussi des personnages aussi bienveillants que laids. Ainsi Xiao Gui, le petit démon, peut ricaner. Il devra quand même côtoyer une cohorte de bons dieux. Aux côtés du juge Bao aux traits sévères et aux décisions justes, on croise Lei Gong, ce dieu du tonnerre qui, malgré sa tête de poulet, est capable de purifier le monde par un déluge dévastateur, ou encore le rigolard Ji Gong. Ce bonze fou, capable de miracles, est un soiffard insolent et exhibitionniste.
    Au fil des siècles, le Nuo est parvenu à absorber les influences taoïstes, bouddhistes et a survécu malgré la Révolution culturelle. Ainsi, explique Jacques Lebrat, « il existe encore des cérémonies. Le Nuo est toujours vivant ».
    Jusqu'au 26 août, 158, boulevard Haussmann, 75008 Paris. Tél. : 01 45 62 11 59. www.musee-jacquemart-andre.com
  • Catégories : Des expositions, L'art, Le Maroc:vie et travail

    Sèvres-Safi. Le renouveau de la céramique en France et au Maroc autour des années 30. (Pour Estelle)

    medium_SEVRES.jpgExposition exceptionnelle présentée
    par
    Attijariwafa bank & la Manufacture nationale de Sèvres
    du 19 avril au 15 juin 2007
    à l’espace d’art Actua, 60 rue d’Alger, Casablanca
    Vernissage : mercredi 18 avril 2007
     
    Les années 30 furent une période de renouveau artistique, notamment dans le domaine de la céramique. Chacune à sa manière, la Manufacture nationale de Sèvres, en France et « l’école de Safi » au Maroc, participèrent au mouvement Art Déco. C’est ce que cette exposition propose de découvrir et la ville de Casablanca, particulièrement associée au mythe des années 30, est sans aucun doute le cadre idéal pour une telle manifestation.

    Pour la première fois de son histoire, la Manufacture de Sèvres présente ses productions au Maroc : porcelaines bien sûr et, plus inattendus, faïences et grès ainsi que de nombreux projets de décors, réunis pour cette occasion parmi sa propre collection et celle du prestigieux Musée national de céramique à Sèvres. Les céramiques et archives de « l’ école de Safi », des maîtres-artisans Lamali, Serghini, Benbrahim, et bien d’autres, proviennent de collectionneurs passionnés depuis de nombreuses années par la préservation de ce patrimoine.
     
    Cette exposition est co-organisée par Attijariwafa bank et la Manufacture nationale de Sèvres, avec le soutien de l’Ambassade de France, de l’Ecole d’Art et de Communication de Paris (EAC) et de l’IFC.

    Plus d'infos et de photos:http://manufacturedesevres.culture.gouv.fr/site.php?type=P&id=97

  • Catégories : Des expositions, Des lieux

    Une expo et une ville (ma ville natale) à (re)découvrir:"A fleur de peau"

    medium_troyes.jpgTroyes enlève le bas

    PHILIPPE VIGUIE DESPLACES (mercredi 18 avril 2007)


    Doté d’un magnifique Musée d’art moderne installé dans l’ancien évêché, Troyes propose depuis quelques jours une exposition intitulée « A fleur de peau ». Si l’on y ajoute un coeur de ville médiéval admirablement restauré et en périphérie plus d’une centaine de boutiques de marques à prix réduits… un week-end à Troyes s’impose.

    Premières impressions Le vieux Troyes a la forme d’un bouchon de champagne avec des maisons à pans de bois, pour certaines, ventrues comme des outres trop pleines. La partie la plus étroite du bouchon est la plus commerçante et la plus animée. La rue Emile-Zola, dont les façades médiévales ont repris des couleurs d’autrefois – vert pomme ou rouge sang de boeuf –, les voies adjacentes étroites comme la ruelle des Chats qui découvrent de petites placettes conviviales, sont les entrailles de la ville. Au premier coup d’oeil, on comprend vite que Troyes est un petit bijou aux charmes moyenâgeux, renaissance ou dix-huitièmiste avec quelques splendeurs : la grille de l’Hôtel Dieu, ferronnerie d’or coiffée des pleines armes de Champagne ou la cathédrale. Sa verrerie d’origine est une splendeur et le souvenir de Bernard de Clairvaux, dictant sous la nef magistrale les règles de la chevalerie, ajoute à l’émotion engendrée par la majesté des lieux. Troyes, à l’ombre de ce clocher millénaire, y cultive son propre art de vivre. Dans le palais épiscopal, le Musée d’art moderne présente une grande exposition consacrée au bas, un élément de bonneterie qui fut la grande affaire industrielle de la ville.

    « À fleur de peau » À travers du bas, c’est le thème de la nudité et du désir dans l’art qui est traité par cette exposition peu banale qui présente plus de 350 peintures. Pour réussir une telle entreprise, qui avait toutes les chances de tomber soit dans l’anecdotique et le cliché, soit dans le plus complet prosaïsme, il fallait deux ingrédients : un vrai contenu et une scénographie parfaitement adaptée. Conduit de mains de – jeunes – maîtres, sans aucune espèce de timidité, deux étudiants d’une vingtaine d’années de l’École nationale supérieure de création industrielle, Élodée Cardineaud et Julien Legras, ont été sélectionnés au terme d’un atelier de projets dirigé par le designer Jean-François Dingjian. Le résultat très prometteur décoiffe : les oeuvreJs sont accueillies dans des modules, ellipses de voilage aux formes lascives. Des dizaines de bas reposent dans des vitrines au design inventif qui rappellent celles que l’on voyait autrefois dans les magasins de bonneterie. Les étudiants de l’école ont poussé le détail jusqu’à filtrer la lumière des vitres extérieures par des motifs de bas grossis… ajoutant une touche d’humour à une mise en scène très réussie qui sert avec justesse l’autre trésor de l’exposition : les oeuvres. Elles sont signées des plus grands, un tour de force. Bien sûr, il y a Toulouse-Lautrec, celui auquel on pense immédiatement, mais encore Capiello pour de superbes affiches, Picasso pour un Nu aux jambes croisées, ou encore Matisse pour cette superbe Lorette à la terrasse d’un café. Des oeuvres de Van Dongen, Courbet, Degas, Gromaire, Chagall… défilent devant nous dans un luxe d’érotisme contenu, jamais vulgaire. « Le bas, objet de toutes les ambiguïtés, révèle la forme du corps nu sans montrer la peau », commente le commissaire de l’exposition, Emmanuel Coquery.

    Le Musée d’art moderne. Il contient la collection de Pierre et Denise Lévy, amateurs d’art troyens éclairés et riches dont le goût très sûr s’est porté sur la peinture des XIXe et XXe siècle. Le Paysage de neige dans le Jura de Gustave Courbet ou Les deux hommes en pieds de Degas ou encore Les Coureurs de Delaunay, oeuvre célébrissime, valent à eux seuls le déplacement à Troyes. Mais il y a aussi de magnifiques Dufy, Derain, Matisse, cerise sur le gâteau on s’assoit sur un mobilier superbe de Paulin.

    COMMENT Y ALLER
    En train, c’est à 1 h 30 à partir de la gare de l’Est, en voiture par l’A5. Troyes est à 160 km de Paris.

    OÙ DORMIR ?
    À la Maison de Rhodes dans le centre historique de Troyes, un magnifique petit hôtel de charme d’une dizaine de chambres aménagé dans une jolie maison à pans de bois. 18, rue Linard-Gonthier. www.maisonderhodes.com

    SHOPPING
    Troyes est le paradis des magasins d’usine de marques avec Mcarthurglen et Marques City et sur un second site Marque Avenue. Au total, plus de 300 boutiques.

    SE RENSEIGNER ?
    Office de tourisme de Troyes, tél. : 03 25 82 62 70 et www.tourisme-troyes.com

    EXPOSITION
    « A fleur de peau » au Musée d’art moderne de Troyes, 14, place Saint-Pierre. Tél. : 03 25 76 26 80. Tlj de 10 heures à 13 heures et de 14 heures à 18 heures Tarif : 5 € TR : 2,50 €. Gratuit pour les moins de 18 ans.

     http://www.figaroscope.fr/week_end/2007041700023920.html

  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, L'érotisme

    Rodin, les Figures d’Eros jusqu'au 18 mars 2007 au Musée Rodin

    Dessins et aquarelles érotiques. 1890-1917
    Exposition présentée au musée Rodin du 22 novembre 2006 au 18 mars 2007



    Ou se termine le nu ? Ou commence l’érotisme ?

    L’érotisme représente une part très importante de l’oeuvre de Rodin. Le musée Rodin présente aujourd’hui un exceptionnel ensemble de 145 dessins et aquarelles qui montre la fascination que Rodin eut pour le corps féminin.
    A partir des années 1890, Rodin réalise des centaines de dessins d’après les modèles féminins qui posent pour lui dans son atelier dans des attitudes inédites, rarement convenues, souvent sensuelles, extravagantes et provocantes. Ces dessins s’inscrivent souvent dans une recherche de la forme pure, l’érotisme se manifeste néanmoins comme une donnée essentielle, comme le moteur principal de sa démarche créatrice.

    Ouvert tous les jours sauf le lundi de 9h30 à 16h45.
    79 rue de Varenne 75007 Paris. M° Varenne
    exposition+parc : 6 euro , tarif réduit 4 euro
    billet jumelé : exposition+musée+parc : 9 euro, tarif réduit : 7 euro

     Le petit Journal de l'exposition (.pdf 2.4 Mb)

    http://www.musee-rodin.fr/accueil.htm


     

  • Catégories : Des expositions, La peinture

    Orangerie 1934 : Les “peintres de la réalité” (Paris) jusqu'au 5 mars 2007

    medium_orangerie.jpg

    Nature morte à l'échiquier
    Lubin Baugin
    Musée du Louvre, Département des Peintures


    Photo
    © RMN/G.Blot

    lieu : Musée de l'Orangerie, Jardin des Tuileries - 75001 Paris

    date : jusqu'au 5 mars 2007

    http://www.linternaute.com/sortir/diaporama_expositions/1.shtml

    medium_affiche.jpg

     

    Commissaire : Pierre Georgel, directeur du musée de l’Orangerie

    Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux et le musée national de l’Orangerie

    Cette exposition inaugure la nouvelle politique culturelle et les nouveaux espaces d'expositions temporaires de l'Orangerie, rendus possibles par sa récente rénovation.

    Conçue par le directeur du musée, Pierre Georgel, elle fait un lien symbolique entre le passé et l'avenir de l'Orangerie en évoquant une de ses expositions les plus notoires et les plus fécondes de l’entre-deux-guerres, Les Peintres de la réalité en France au XVIIe siècle, organisée en 1934 par Paul Jamot et Charles Sterling. Cette exposition, où fut notamment révélé l’œuvre de Georges de La Tour, eut un retentissement profond. Elle allait durablement renouveler l'appréciation de l'art français du XVIIe siècle.

    Outre une reconstitution virtuelle intégrale et un large choix d'originaux présentés en 1934 (environ soixante-dix peintures du XVIIe siècle, œuvres de Georges de La Tour, des frères Le Nain et d’autres « peintres de la réalité » comme Valentin, Tournier, Bourdon, Rivalz ou les spécialistes de nature morte Baugin et Linard, mais aussi, de façon plus inattendue, de Poussin ou de Claude Gellée), l'exposition de 1934 est replacée dans son contexte politique et intellectuel par un substantiel "dossier" historique. Une salle fait ainsi découvrir des consonances parfois déconcertantes entre "peintres de la réalité" du XVIIe  et du XXe siècles, avec une quinzaine d'œuvres de Maurice Denis, Picasso, Léger, Magritte, Balthus, Hélion, ainsi que de peintres des années trente qui furent fameux en leur temps et qu'on pourra  redécouvrir.

    Scénographie : présentation conçue par Pierre Georgel avec le concours de l’Agence Pylône

    Télécharger le dossier de presse

     http://www.rmn.fr/peintres-realite/index1-1.html

     

  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'histoire

    Exposition "Trésors engloutis d'Egypte" au Grand Palais jusqu'au 16 mars 2007

    medium_telerama_egypte.jpgComme je ne peux pas aller pour l'instant à Paris voir cette exposition, j'ai dévoré ce "Télérama Hors série" de décembre 2006 qui s'intitule "L'Egypte surgie des eaux au Grand Palais"  et qui retrace "dix ans de fouilles en baie d'Aboukir."

    Le texte est passionnant , les images magnifiques; il y aussi une bonne bibliographie (textuelle et virtuelle) à la fin et toutes les cooordonnées pour aller voir l'exposition.

    Ceci dit, ces hors-série de Télérama sont souvent excellents.

    Maintenant, je vais aller voir:

    -medium_expo_egypte.jpg le site de l'exposition:http://www.tresors-engloutis-degypte.fr/Website.aspx?l=2

     

     

     

     

     

     

    - le site de l'Institut européen d'archéologie sous-marine:http://www.franckgoddio.org

    medium_goddio.jpg

     

     

     

     

     

     

     

    N'oubliez pas, si vous y allez de ne me ramener un souvenir virtuel.

    Bonne visite réelle ou virtuelle.