Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Pour accompagner "Paysages de bohémiens"
Charles Baudelaire:"Bohémiens en voyage" dans "Les Fleurs du Mal."
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Charles Baudelaire:"Bohémiens en voyage" dans "Les Fleurs du Mal."
samedi 19 novembre 2011-
lundi 30 janvier 2012
http://www.musees-nationaux-alpesmaritimes.fr/chagall/
Le sujet est exaltant mais il va falloir hélas attendre encore un peu puisque cette exposition ne se tiendra au Grand Palais que du 24 septembre 2012 au 6 janvier 2013. Le fait qu’elle soit organisée par la RMN - Grand Palais et la fundación Mapfre, de Madrid est de plus alléchant et prometteur. Quels seront les tableaux présents ? Si Léonard de Vinci, van Gogh Modigliani et Picasso sont bien évidemment convoqués, je ne vous cacherai pas que je suis impatient, sur un tel sujet-roi, de découvrir ce qui en fera le détail, que ce soit en peinture, en littérature, en photographie ou en musique
L'Oeil - n° 592 - Juin 2007
Musée national Picasso, hôtel Salé, 5, rue de Thorigny, Paris IIIe, tél. 01 42 71 25 21, www.musee-picasso.fr, jusqu’au 24 juin 2007.
http://www.artclair.com/oeil/archives/docs_article/00255/picasso.php
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Dans la plus verte de nos vallées, Par les bons anges habitée, Autrefois un beau et majestueux palais, Un rayonnant palais dressait son front. C'était dans le domaine du monarque Pensée, C'était là qu'il s'élevait! Jamais séraphin ne déploya son aile Sur un édifice à moitié aussi beau. Il Des bannières blondes. superbes, dorées, A son dôme flottaient et ondulaient; (C'était, tout cela, c'était dans le vieux, Dans le très vieux temps.) Et, à chaque douce brise qui se jouait Dans ces suaves journées, Le long des remparts chevelus et pâles, S'échappait un parfum ailé. III Les voyageurs, dans cette heureuse vallée, A travers deux fenêtres lumineuses, voyaient Des esprits qui se mouvaient harmonieusement Au commandement d'un luth bien accordé. Tout autour d'un trône, où, siégeant Un vrai Porphyrogénète, celui-là! Dans un apparat digne de sa gloire, Apparaissait le maître du royaume. IV Et tout étincelante de nacre et de rubis Était la porte du beau palais, Par laquelle coulait à flots, à flots, à flots, Et pétillait incessamment Une troupe d'Échos dont l'agréable fonction Était simplement de chanter, Avec des accents d'une exquise beauté, L'esprit et la sagesse de leur roi. V Mais des êtres de malheur, en robes de deuil, Ont assailli la haute autorité du monarque. Ah! pleurons! Car jamais l'aube d'un lendemain Ne brillera sur lui, le désolé! Et tout autour de sa demeure, la gloire Qui s'empourprait et florissait N'est plus qu'une histoire, souvenir ténébreux Des vieux âges défunts. VI Et maintenant les voyageurs, dans cette vallée, A travers les fenêtres rougeâtres, voient De vastes formes qui se meuvent fantastiquernent Aux sons d'une musique discordante;
http://www.arte.tv/fr/glenn-gould-au-dela-du-temps/2256424.html
Still-life painter Pieter Claesz probably came from Berchem, near Antwerp. He moved to Haarlem at an early date, where he married in 1617 and remained for the rest of his life. Pieter Claesz's son Nicolaes Berchem also became a painter. In his early work, Pieter Claesz employed vivid colours. Later, he adopted a more subdued palette with a more monotone range. His compositions acquired increasing elegance, broadness and nonchalance as the years passed. Nevertheless, the objects in his still lifes rarely overlap. For Pieter Claesz, the principal aim was to render the materials and catch the reflected light as accurately as possible. This was his speciality.
L'oeuvre de l'un des plus grandes architectes du XXe siècle est analysée au travers de son approche de l'espace et de la perception et de sa recherche d'un rythme, d'une mesure universelle.
La Fondation Louis-Vuitton présente, à partir de mercredi, dans le bois de Boulogne, à Paris, une sélection d’œuvres majeures du XXe siècle, fondatrices de la modernité.
Le Cri, d'Edvard Munch, hurle son désespoir, cueillant les visiteurs dès l'entrée d'un direct à l'estomac. Les jeunes gens de La Danse de Matisse concluent le parcours de leur sarabande sauvage et joyeuse, permettant de repartir avec un peu de leur énergie en bandoulière. Entre ces deux toiles célébrissimes, l'exposition "Les Clefs d'une passion", qui ouvre le 1er avril à la Fondation pour l'art contemporain Louis-Vuitton, à Paris, déroule une soixantaine d'œuvres majeures du XXe siècle.
Paru dans leJDD
"Le Cri" (1893) d'Edvard Munch. (Munch museum)
N° 228 - avril 2015 - 9,50 €
ISSN : 1161-3122
Poussin, profane ou religieux ? Le sujet questionne depuis des siècles les historiens de l’art. L’exposition du musée du Louvre, qui honore aujourd’hui le grand peintre français du XVIIe siècle, à l’occasion du 350e anniversaire de sa mort, entend contribuer à la réflexion.
Réunissant une centaine d’œuvres, dont plus de soixante peintures, sous le titre ambitieux de « Poussin et Dieu », elle met en scène ses tableaux religieux, jusqu’alors moins étudiés. Éclairant la spiritualité chrétienne qui en compose l’arrière-plan, elle révèle sous un jour nouveau l’extraordinaire synthèse du sacré et du profane, du chrétien et de l’antique, qu’incarne Nicolas Poussin.
Le jury international de la 56ème Biennale de Venise a décerné à El Anatsui le Lion d’Or pour l’ensemble de son œuvre.
Photo: Jean- Christophe Marmara/Le Figaro Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro
FIGAROVOX - Philippe Bilger, le président de l'Institut de la Parole a lu, pour FigaroVox, « Le Soldeur » (Julliard), le roman de Michel Field. Il y a trouvé de la politique, de la philosophie, du libertinage, de la nostalgie. Ce que les bouquinistes appellent la littérature.
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CULTURE Cui Jingzhe ou la renaissance de la peinture impériale chinoise Descendant à la cinquième génération de Cui E Hui, peintre à la cour de la dynastie Qing, Cui Jingzhe fait revivre un art classique déjà exposé dans le monde entier |
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Dimanche 5 avr. 2015 | 75 min
Diego Velázquez n'avait jamais eu de grande exposition en France. Le Grand Palais présente une cinquantaine de ses tableaux, un exploit...
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Contrairement à l'an dernier, la saison sera riche en expositions de peinture ancienne à Paris, avec, surtout, Velàzquez au Grand Palais et...
Au sommaire : Les journées européennes des métiers d'Art et « Mutations » au Musée des Arts décoratifs
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Nicolas Poussin, Paysage avec saint Mathieu et l'ange
Nicolas Poussin, Paysage avec saint Mathieu et l'ange
Détail de Paysage avec saint Mathieu et l'ange (1640). Peinture à l'huile de Nicolas Poussin. (Staatliche Museen zu Berlin, Gemäldegalerie, Berlin.)
© Archives Larbor
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Le Christ enfant (détail) par Le Bernin. Crédits photo : RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Tony Querrec
En parallèle à l'exposition consacrée à Poussin, Le Louvre se penche sur l'iconophilie de la Rome pontificale et la traduction qu'en a donnée l'École française entre 1580 et 1660.
Contre le protestantisme qui condamne peintures et sculptures religieuses, accusées de susciter l'idolâtrie, le concile de Trente réaffirme l'utilité de l'image. Mais à l'époque de Poussin, la réflexion sur ce que doit être une image sacrée prend des tours multiples. D'autant que dans la Rome pontificale, puis à Paris, les grands chantiers d'églises et de palais se multiplient au point qu'on n'a jamais assisté à un tel foisonnement d'expériences.
Louis Frank, conservateur en chef au département des arts graphiques du Louvre, et Philippe Malgouyres, conservateur en chef au département des objets d'art, détaillent ces années d'intenses fabriques de saintes images, de 1580 à 1660.
Ils ont sélectionné 85 dessins et gravures, des peintures (dont La Mort de la Vierge de Caravage), objets d'art et quelques sculptures. Ils esquissent les options et différences de Caravage, des Carrache, Guido Reni, Bernin, Cortone à Rome ; puis de Vouet, Le Sueur, Philippe de Champaigne et des frères Le Nain à Paris. Ils parlent d'iconophilie triomphale dans la Ville éternelle. Quant à Paris, ils soulignent une esthétique plus en retenue, la cohabitation des catholiques et protestants après la pacification apportée par l'édit de Nantes expliquant cette importante nuance, bientôt caractéristique du style français.
Il faut voir toutes les beautés présentées. Parmi les plus flamboyantes, qui écrasent celles d'un premier temps de pureté dévote, et en guise de l'indéplaçable et magistrale Transverbération de Thérèse d'Avila, joyau de Santa Maria della Vittoria, les commissaires mettent en valeur un marbre plus modeste du Bernin. Cet Enfant Jésus jouant avec un clou (notre illustration ci-dessus) est d'emblée conscient de sa destinée. Le clou est un des outils de son père adoptif. D'autres, identiques, seront enfoncés dans sa chair lors de sa crucifixion. Bernin a imaginé ce relief qui fut donné en cadeau à la jeune reine de France. Avec cette sculpture, elle pouvait méditer sur les souffrances du Christ et trouver comment accepter les siennes.
La fabrique des saintes images, rome-Paris, 1580-1660, du 2 avril au 29 juin 2015, www.louvre.fr
De Rome à Paris, les facettes de la Contre-Réforme
En parallèle à l'exposition consacrée à Poussin, Le Louvre se penche sur l'iconophilie de la Rome pontificale et la traduction qu'en a donnée l'École française entre 1580 et 1660.
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