Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Sport du 8 AOUT 2022(douleurs et vie quotidienne)
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La « grosse tour », comme on la nommait au XVIe siècle est aujourd’hui devenue le théâtre de rendez-vous festifs et culturels durant l’été : Festival de musique classique, Rockorama, spectacles de danses, odyssées musicales et chorégraphiques de Constellations, aventures costumées avec Noob, journées du patrimoine ou spectacles de fin d’année des écoliers et des enfants fréquentant les centres de loisirs.
Rebaptisée "Les Lauriers Roses" par le poète, elle est empreinte de son passage et marquée par les rencontres amicales qu'il y cultiva. À l'image de celle entretenue avec le céramiste Clément Macié ou le peintre modeleur Paulin Bertrand, dont les œuvres parsèment la maison. Ce dernier séjourna dans la bastide avec son épouse et en hérita lorsque son ami s'éteignit en 1921. C'est Julia Pillore (épouse de Paulin Bertrand) journaliste et critique d’art sous le pseudonyme de Léon de Saint-Valéry qui légua la demeure pour qu'elle devienne le musée Jean Aicard-Paulin Bertrand.
https://toulon.fr/envie-bouger/article/musee-jean-aicard-paulin-bertrand-mab
Inauguré en 1888, l’édifice se distingue par sa monumentale façade sculptée et émaillée et son plan en U. Il accueillait à l’origine trois institutions : le Musée d’Art, le Muséum d’Histoire naturelle et la bibliothèque.
Labellisé "Musée de France", le Musée d'Art dispose de fonds d'art ancien et moderne, contemporain, d’arts graphiques ainsi que des objets archéologiques et ethnographiques.
Autre point fort de la collection : L’Orient et le voyage en Méditerranée. Les peintres provençaux (Coudouan, Ziem, Tournemine, Montenard…) ne sont pas indifférents à l’engouement pour l’Orient qui se manifeste au XIXe siècle. Cette fascination les entraîne vers une exploration nouvelle de la lumière et des couleurs.
Pour des raisons de conservation, ces œuvres seront présentées au public par roulement, sous forme d’expositions temporaires dans le cabinet d’Arts graphiques.
Elle allie le respect des normes en vigueur (accessibilité, sécurité, éclairage, température, acoustique, hygrométrie, etc.) et la valorisation des précieuses collections du musée, tout en étant à même d’accueillir des expositions nationales, voire internationales.
Pour ce faire, les volumes ont été réorganisés, les éclairages totalement revus, les cheminements revisités et les thématiques choisies avec soin.
Le bâtiment a été totalement repensé. De fait, dès l’arrivée sur le boulevard Leclerc, la transformation saute aux yeux : la cour intérieure, totalement réaménagée, est passée d’un dénivelé de 2,5m à une pente douce accessible à tous, agrémentée de bassins d’eau et largement ouverte sur la ville. Le volume du hall a été multiplié par deux, un ascenseur (pour les personnes à mobilité réduite) et un monte-charge (pour les œuvres) ont été installés et la lumière naturelle baigne à nouveau l’escalier monumental. Jean-Louis Duchier, l’architecte du projet souligne que c’est un pari fou, compte tenu des délais, mais un pari tenu.
La profonde réhabilitation dont le musée a fait l'objet l'a complètement métamorphosé dans le respect du passé . La bibliothèque a été conservée « dans son jus », mais une partie de celle-ci est devenu un cabinet de curiosités. A l’entresol, ouverture de la mezzanine et création d’un cabinet d'arts graphiques. Le musée propose en outre plusieurs espaces à vocations spécifiques : une salle de lecture consacrée à l’art régionaliste (complétant l’offre de Chalucet), un lieu dédié à la médiation culturelle ainsi que des espaces de bureau et de conservation.
https://toulon.fr/envie-bouger/article/musee-d-art-de-toulon-mat
fascicule sur ce peintre:
http://peintres-officiels-de-la-marine.com/Barbaroux-Edmond/Barbaroux-Edmond.html
Issu d’une prestigieuse lignée de capitaines marins, Blaise Jean Marius Michel, dit Michel Pacha (1819 - 1907) s’engage dans la marine marchande où il fait carrière. Promu directeur général des phares de l’Empire Ottoman, le sultan élève le commandant Michel à la dignité de Pacha pour son œuvre dans le domaine des ports et des phares de la Turquie, en mer Noire, en mer Egée, en Méditerranée et à Constantinople.
Dans les années 1880, de retour dans sa province natale et doté d’une fortune considérable, Michel Pacha forme le dessein d’établir dans les quartiers de La Seyne appelé Tamaris une station balnéaire, au moment où la Côte d’Azur s’affirme être région de villégiature d’hiver.
Michel Pacha édifie, en bord de mer alors une cinquantaine de villas, entourées de parcs aux essences exotiques et variées telles qu’on les voit sur le Bosphore. Pour desservir cet ensemble nouveau, il établit un service maritime qui permet d’assurer des relations régulières entre la station balnéaire et Toulon.
En plein cœur d’une pinède, perchée sur les hauteurs d’une colline au pied de la Méditerranée et de la baie du Lazaret, la Villa Tamaris ou « la grande maison » comme l’appelle la tradition orale fait partie du projet ambitieux de Michel Pacha.
Comme la plupart des demeures qu’il a édifiées, la Villa profite d’une architecture à la fois imposante et raffinée. Toutefois, construite sur une surface de 3700 m2, ses proportions la rapprochent plus d’un modèle palatial que d’une villa balnéaire.
Il semble que Michel Pacha ait fait construire cette villa pour sa première épouse, Marie-Louise Séris et aurait interrompu les travaux en 1893, après le décès de celle-ci.
Restée inachevée, elle est réhabilitée en 1991 par la Ville de La Seyne-sur-Mer.
A partir de 1995, elle devient Villa Tamaris, centre d’art.
En décembre 2003, elle est transférée à la Communauté d’Agglomération TPM, aujourd’hui Métropole, en tant que site de référence pour les arts visuels.
Ils sont tous nés en France ou au Portugal et c’est un florilège de leurs regards croisés, des années 1930 à aujourd’hui, que nous avons souhaité vous offrir.
Au fil de ces rencontres avec les artistes que nous vous invitons à découvrir ou redécouvrir, il ne tient qu’à vous de faire vôtre cette maxime du grand auteur lusophone Fernando Pessoa : La seule réalité pour moi, ce sont mes sensations.*
Jubilation solaire des dessins, peintures et céramiques de Bela Silva, ô combien marqués par son identité lusophone. Personnalité vibrante et grande voyageuse, l’artiste se nourrit de ses nombreuses incursions en Amérique du Sud et en Inde et intègre dans son approche créative l’histoire, la culture et la nature qui lui sont une source d’inspiration inépuisable.
Surprise de découvrir ces images fixes cachées dans les archives du Maître du cinéma portugais, Manoel de Oliveira ! Comme un nouveau chapitre de la photographie portugaise. Prises dans les années trente à cinquante et restées inédites, elles sous-tendent son œuvre à venir qui compte plus de soixante films.
Les grands découvreurs portugais de Vasco de Gama à Pedro Alvares Cabral, établirent les cartes de l’empire portugais au XVè et XVIè siècle. A leur image, Alfredo Cunha arpente le globe depuis la Révolution de 1974. Un demi-siècle de photographies, avec une extrême sensibilité et une profonde pudeur, ce disciple d’Eugène Smith, nous tend un miroir de son village de Vila Verde jusqu’aux confins du monde.
Venant de l’art pictural, à partir de 1975, Helena Almeida utilise le média photographique pour s’extraire des limites du cadre imposé par la tradition et la société, au propre et au figuré. En 1979, date de la prise de pouvoir par l’Ayatollah Khomeiny en Iran qui condamne les femmes a l’obscurantisme, son autoportrait bâillonné d’un Ouve-me (Écoute-moi), lui ouvre les portes de la reconnaissance internationale.
Manuela Marques, photographe et vidéaste, nous entraîne dans un paysage lithique. Sous un ciel bleu nuit, aux limites du cosmos, sans ligne d’horizon, deux pierres oscillent. L’œil de la caméra est statique, le net et le flou alternent et le souffle du vent se fait plus ou moins violent. Hypnotique.
David Infante tente de retenir les fragments du passé en superposant des images anciennes liées à ses souvenirs et des paysages contemporains. A partir d’une prise de photographie classique que l’on retrouve au centre, il recompose un moment intemporel. Une vision poétique de l’espace et du temps qui passe.
En recherchant les traces du temps que portent nos rivages méditerranéens, sculptés au hasard de rafales des vents et des vagues, Catarina Osório de Castro y retrouve une géographie universelle qui ressemble parfois à celle plus intime dessinée par nos corps. Tito Mouraz utilise le négatif du polaroid pour poétiser sa Plongée, (Mergulho) du littoral des Açores au littoral varois. L’atmosphère est silencieuse, mais on pressent l’action du vent et des vagues... ainsi que l’exprime si justement le critique d’art Sérgio Mah.
Léna Durr jeune artiste française engagée est venue dans le quartier lisboète de la Mouraria écouter le murmure des souffrances qui hante encore ses habitants, Tandis que Zagros Mehrkian, exilé d’origine iranienne, dos à l’Atlantique, a tourné obstinément son objectif vers l’Orient, dans la capitale portugaise, cherchant aussi à contourner les figures imposées du format de l’image académique.
Micheline Pelletier et Rui Freire
* Le livre de l’intranquilité
https://metropoletpm.fr/actualites/design-parade-toulon-hyeres-c-parti-3-jours-de-festival
marché: oignons jaunes et nouveaux
échalotes
poireau
chou fleur
Le musée est né de la volonté de la « Société des Amis du vieux Toulon ». Dans ses rangs, l’association comptait entre autres Jean Aicard, membre de l’Académie française, et le sculpteur André Allar. Elle a fêté son centenaire en février 2012.
Sa vocation : recueillir et conserver les œuvres d’art et documents relatifs à l’histoire de Toulon et de sa région, à l’image de la bibliothèque d’Octave Teissier ou de la collection de cahiers de Pierre Letuaire.
Une vocation restée intacte et un fonds enrichi au fil du temps qui méritait bien le nouvel écrin offert par la Ville à l’association.
Aujourd’hui, le Musée d’histoire de Toulon et de sa région peut accueillir son public dans les meilleures conditions de confort et de sécurité.
Au rez-de-chaussée, une salle d’exposition lumineuse permet de découvrir les collections : plan-relief, carnets de croquis, documents, bustes, peintures, aquarelles…
Le 1er étage accueille pour sa part la bibliothèque, riche de milliers de titres et fréquentée par nombre d’étudiants et de chercheurs, alors que le 2e étage est dévolu aux réserves. Ces deux niveaux sont desservis par un ascenseur.
Au final, ce haut-lieu de la culture locale a gagné en lisibilité et les moyens de démontrer que, décidément, il mérite bien plus qu’un détour.
L’association est également l’administratrice testamentaire du musée Jean Aicard/Paulin Bertrand.
Parmi les noms célèbres présents au musée, on peut noter les sculpteurs Pradier et Pierre Puget, le peintre Olive Tamari ou Félix Mayol.
Le Musée, dont le fonctionnement est assuré par l’association, est ouvert gratuitement du lundi au samedi de 14h à 18h. (Fermé le dimanche).
10 rue Saint Andrieu, Toulon.
Renseignements : 04 94 62 11 07
Encres rêvées, songes de papier
Hyun Jeung
Exposition du 13 mai au 30 octobre
Ateliers avec l’artiste le 14 mai à 15h et 21H (nuit des musées) puis le dimanche 30 octobre à 14h (ouverture exceptionnelle/ finissage)
Hyun Jeung est une artiste coréenne originaire de Daegu. Ingénieur en électronique dans son pays, elle a entrepris ensuite des études d’arts plastiques en France à la Sorbonne. Depuis plus de 25 ans, elle se consacre à la gravure sur bois.
La première chose qui étonne dans l’œuvre de Hyun Jeung, c’est que chaque tirage est fondamentalement et délibérément unique. La gravure sur bois, technique millénaire, est exploitée par l’artiste non pas comme un simple moyen de reproduction, mais comme un véritable art du processus qui donne à voir les variations du vivant à travers la répétition. Les œuvres de Hyun Jeung forment une continuité avec la tradition coréenne, tout en l’adaptant à notre temps et aux évolutions esthétiques et conceptuelles de l’histoire de l’art du XXIe siècle. Hyun Jeung ne passe pas par un dessin préparatoire. Elle grave directement la planche, créant ainsi une matrice qui va permettre d’imprimer sa création sculptée. La feuille passe l’épreuve des multiples passages sur la matrice encrée. Elle utilise du papier traditionnel coréen (hanji, papier fabriqué à partir des fibres du mûrier).
Hyun Jeung partage ainsi par ses œuvres ses songes d’encre et ses rêves de papier, emmenant une nouvelle fois les visiteurs du musée vers un imaginaire artistique où la douceur et la couleur sont maîtres.
La collection du Musée des Arts Asiatiques de Toulon est constituée à plus de 95% de dons ou de legs. Depuis la fin du XIXe siècle, la famille Rothschild, Hyppolite Fauverge de French, Mme Lalande, Monsieur Vittu de Kerraoul, le Commandant Morazzani, les époux Collet et la famille Jubiot (dernier don, photographies japonaises), ont, entre autres, par leur volonté, fait que leurs collections deviennent toulonnaises.
L’acquisition de ces objets par ces collectionneurs-donateurs est en lien direct avec leurs métiers, leurs voyages, leurs passions et surtout leur désir de collectionner. Ces objets sont donc des éléments de leur vie, ils illustrent des épisodes de leurs récits personnels.
Mais, ces collectionneurs sont remarquables par une décision, qu’ils portent tous en commun, celle de garantir l’intégrité de leurs collections dans le temps en les offrant à un musée et à la Ville de Toulon.
Ces objets sont donc passés de la sphère privée à la sphère publique, du cabinet de curiosité au musée, de l’intimité à l’exposition, de la délectation personnelle au parcours muséographique.
Deux thématiques :
Premier étage : Familles et matières
La collection toulonnaise est très riche d’objets chinois, japonais et indiens. Afin de rendre ludique et didactique le parcours d’exposition, les objets, sont présentés soit par famille de matière soit par thématique
L’Inde, l’Asie du Sud-Est, La Chine et le Japon sont donc à l’honneur à travers des objets en céramique, en jade, en bronze, en pierre, en bois, en ivoire ou en soie.
L’hindouisme, le taoïsme, la périodes Edo et l’Ere Meiji japonaises, seront également évoqués comme des thématiques et des périodes phares pour l’enseignement des civilisations asiatiques.
Nos jeunes visiteurs seront également invités à découvrir le riche bestiaire du musée où animaux réels et fantastiques cohabitent et côtoient très souvent des personnages aux récits extraordinaires. Divinités, immortels, gardiens ou héros seront ainsi à l’honneur et présentés dans l’espace réservé aux mythologies et récits.
Second étage : Bouddha et bouddhisme(s)
Les collections asiatiques toulonnaises regroupent des objets antiques mais également contemporains, cependant une thématique clé est commune aux collections toulonnaises : le bouddhisme.
Ainsi à Toulon, la collection permet de relater cinq scènes de la vie du Bouddha historique.
De même et afin de travailler sur l’histoire et l’évolution de la représentation du bouddha et des bodhisattvas à travers les pays et les civilisations asiatiques, des sculptures, des céramiques, des ivoires, des bronzes et des thangka complètent la présentation initiatique et pédagogique de la découverte du bouddhisme.
Tous ces objets, par leur richesse visuelle singulière et intrinsèque, décrivent parfaitement la nature multiforme des pratiques culturelles et des croyances liées à Bouddha en Asie, de la civilisation gandharienne (actuels Afghanistan et Pakistan) au Japon.
Musée des Arts Asiatiques
*exceptionnellement ouvert le dimanche 30 octobre pour le finissage
https://www.toulon.fr/envie-bouger/article/musee-arts-asiatiques
La Ville de Toulon propose une exposition des oeuvres de Hyun Jeung "Encres rêvées, songes de papier"
Encres rêvées, songes de papier
Hyun Jeung
Exposition du 13 mai au 30 octobre
Ateliers avec l’artiste le 14 mai à 15h et 21H (nuit des musées) puis le dimanche 30 octobre à 14h (ouverture exceptionnelle/ finissage)
Hyun Jeung est une artiste coréenne originaire de Daegu. Ingénieur en électronique dans son pays, elle a entrepris ensuite des études d’arts plastiques en France à la Sorbonne. Depuis plus de 25 ans, elle se consacre à la gravure sur bois.
La première chose qui étonne dans l’œuvre de Hyun Jeung, c’est que chaque tirage est fondamentalement et délibérément unique. La gravure sur bois, technique millénaire, est exploitée par l’artiste non pas comme un simple moyen de reproduction, mais comme un véritable art du processus qui donne à voir les variations du vivant à travers la répétition. Les œuvres de Hyun Jeung forment une continuité avec la tradition coréenne, tout en l’adaptant à notre temps et aux évolutions esthétiques et conceptuelles de l’histoire de l’art du XXIe siècle. Hyun Jeung ne passe pas par un dessin préparatoire. Elle grave directement la planche, créant ainsi une matrice qui va permettre d’imprimer sa création sculptée. La feuille passe l’épreuve des multiples passages sur la matrice encrée. Elle utilise du papier traditionnel coréen (hanji, papier fabriqué à partir des fibres du mûrier).
Hyun Jeung partage ainsi par ses œuvres ses songes d’encre et ses rêves de papier, emmenant une nouvelle fois les visiteurs du musée vers un imaginaire artistique où la douceur et la couleur sont maîtres.
La collection du Musée des Arts Asiatiques de Toulon est constituée à plus de 95% de dons ou de legs. Depuis la fin du XIXe siècle, la famille Rothschild, Hyppolite Fauverge de French, Mme Lalande, Monsieur Vittu de Kerraoul, le Commandant Morazzani, les époux Collet et la famille Jubiot (dernier don, photographies japonaises), ont, entre autres, par leur volonté, fait que leurs collections deviennent toulonnaises.
L’acquisition de ces objets par ces collectionneurs-donateurs est en lien direct avec leurs métiers, leurs voyages, leurs passions et surtout leur désir de collectionner. Ces objets sont donc des éléments de leur vie, ils illustrent des épisodes de leurs récits personnels.
Mais, ces collectionneurs sont remarquables par une décision, qu’ils portent tous en commun, celle de garantir l’intégrité de leurs collections dans le temps en les offrant à un musée et à la Ville de Toulon.
Ces objets sont donc passés de la sphère privée à la sphère publique, du cabinet de curiosité au musée, de l’intimité à l’exposition, de la délectation personnelle au parcours muséographique.
Deux thématiques :
Premier étage : Familles et matières
La collection toulonnaise est très riche d’objets chinois, japonais et indiens. Afin de rendre ludique et didactique le parcours d’exposition, les objets, sont présentés soit par famille de matière soit par thématique
L’Inde, l’Asie du Sud-Est, La Chine et le Japon sont donc à l’honneur à travers des objets en céramique, en jade, en bronze, en pierre, en bois, en ivoire ou en soie.
L’hindouisme, le taoïsme, la périodes Edo et l’Ere Meiji japonaises, seront également évoqués comme des thématiques et des périodes phares pour l’enseignement des civilisations asiatiques.
Nos jeunes visiteurs seront également invités à découvrir le riche bestiaire du musée où animaux réels et fantastiques cohabitent et côtoient très souvent des personnages aux récits extraordinaires. Divinités, immortels, gardiens ou héros seront ainsi à l’honneur et présentés dans l’espace réservé aux mythologies et récits.
Second étage : Bouddha et bouddhisme(s)
Les collections asiatiques toulonnaises regroupent des objets antiques mais également contemporains, cependant une thématique clé est commune aux collections toulonnaises : le bouddhisme.
Ainsi à Toulon, la collection permet de relater cinq scènes de la vie du Bouddha historique.
De même et afin de travailler sur l’histoire et l’évolution de la représentation du bouddha et des bodhisattvas à travers les pays et les civilisations asiatiques, des sculptures, des céramiques, des ivoires, des bronzes et des thangka complètent la présentation initiatique et pédagogique de la découverte du bouddhisme.
Tous ces objets, par leur richesse visuelle singulière et intrinsèque, décrivent parfaitement la nature multiforme des pratiques culturelles et des croyances liées à Bouddha en Asie, de la civilisation gandharienne (actuels Afghanistan et Pakistan) au Japon.
Musée des Arts Asiatiques
*exceptionnellement ouvert le dimanche 30 octobre pour le finissage
https://www.toulon.fr/envie-bouger/article/musee-arts-asiatiques
La Ville de Toulon propose une exposition des oeuvres de Hyun Jeung "Encres rêvées, songes de papier"
Le téléphérique du Faron est unique dans le sud de la France.
Il permet aux toulonnais ainsi qu’aux nombreux touristes d’accéder du pied de la montagne au sommet à environ 584 mètres d’altitude : Le mont Faron.
Mètres d'altitude
Nouvelles cabines design
Passagers en 2019
Le téléphérique du Mont Faron à Toulon a été inauguré en juillet 1959.
À l’origine réalisé par un particulier, Monsieur Louis Valery Roussel, cet amoureux du site décida de mettre en place un moyen de transport original permettant aux résidents de rejoindre leurs habitations par une ligne aéroportée !
https://www.telepherique-faron.fr/histoire-developpements-telepherique-faron
J'avais visité le musée de la marine de Paris :
https://www.musee-marine.fr/paris
en 2016:
A Toulon, on m'a dit que le musée de la Marine est rénové:
https://www.musee-marine.fr/content/musee-en-renovation#f1=*
les autres épisodes:
http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022
j'y ai craqué pour ce livre:
2: KO de 70 km de marche à Toulon, je range
3: HIIT
Le port – Carré du Port
Sur la façade moderne de la mairie d’honneur se trouve la porte rescapée de l’ancien Hôtel de ville détruit, en même temps que le reste du port, en 1944. Cette porte de 1657, œuvre du sculpteur marseillais Pierre Puget, représente deux allégories (la force et la fatigue) qui supportent le balcon d’honneur. Classés Monument historique.
https://toulontourisme.com/fr/que-faire-toulon/toulon-cote-culture/patrimoine-monuments-toulon/
voyage à Toulon:
les 14 autres épisodes:
http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022
voyage à Toulon 13:
le marché provençal:
https://toulon.fr/envie-bouger/proxy/marches-de-provence-0
l'église Saint Fra
nçois de Paule:
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Fran%C3%A7ois-de-Paule_de_Toulon
Embarquez pour une croisière commentée de près d’une heure ...
Les Bateliers de la Rade vous proposent de découvrir ou de redécouvrir le port de Toulon et ses environs !
Ainsi, lors d’une croisière commentée de près d’une heure vous pourrez visiter la « plus belle rade d’Europe » et, en apprendre plus sur son histoire et son utilisation. Enclavée entre la Seyne-sur-Mer, Saint-Mandrier et la grande digue, la rade impose par sa taille et son passé.
La rade toulonnaise n’est pas qu’un port militaire impressionnant, mais aussi une succession de panoramas époustouflants !
Alors, venez découvrir avec nous les beautés et secrets insoupçonnés du port de Toulon !
La construction des premiers bâtiments de l’arsenal remonte au XVIème siècle.
Toulon est aujourd’hui le plus grand port militaire d’Europe et accueille le porte-avions Charles de Gaulle.
Ce fort militaire fut construit entre 1674 et 1685 à La Seyne-sur-Mer, sur la corniche Bonaparte.
Il avait pour mission, la protection de la rade de Toulon, ainsi que celle du rivage seynois.
Ce fort fut construit en 1636 dans la commune de La Seyne-sur-Mer.
Sa mission principale était de compléter l’action la tour Royale et donc, protéger la rade de Toulon.
La grosse tour, comme elle est surnommée, est le premier ouvrage d’une longue série de Forts dans la rade de Toulon.
Financée en majeure partie par le roi Louis XII, elle fut construite entre 1513 et 1524.
C’est le point de départ idéal pour partir à la découverte de Toulon. Au premier pas posé sur le quai, vous voilà d’ores et déjà en coeur de ville. Passez la Frontale du Port et entrez dans l’effervescence du Centre-Ancien. Les jours de match, vous serez accueillis par les rumeurs du Stade Mayol situé là, à fleur de ville. Remontez l’incontournable marché du Cours Lafayette et succombez au charme des ruelles méditerranéennes reliant les Halles Municipales et la Rue des Arts. Laissez vous guider par la musique de fontaines de la Place Puget à la la Place de la Liberté. Prenez enfin un grand bol d’inspiration face aux 7 muses de l’Opéra ou à l’immensité de la Rade vue des hauteurs du Mont Faron.
28 juillet: réveil à 3h51
douche
petit déj
départ à 4h51
presse du jeudi
train vers Lyon à 5h21
puis TGV pour Toulon
madeleine et café
la mer
la gare de Toulon
hôtel pour déposer mes affaires
tour de la rade en bâteau(1 ère ballade en bateau seule)
hôtel pour prendre posession de ma chambre
repas de poisson sur le port: daurade
musée de la marine
dîner végétarien indien
vue sur le port
Photo du 29 juillet 2022(2 e jour du séjour)
le voyage en déjà 9 épisodes sur beaucoup..... plus
http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022/