Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
11 mai dans la presse
1904: naissance de Dali
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1904: naissance de Dali
https://www.decitre.fr/livres/architectures-a-marseille-1900-2013-9782953494822.html
Cité radieuse "Le Corbusier" - Unité d'Habitation - Anciennement dite "La Maison du Fada" (1947) 280 Boulevard Michelet - Marseille 9° arrondissement Cette unité d’habitation, conçue selon le concept du modulor selon lequel l’unité de mesure est la hauteur d’un homme, n’était pour Charles-Edouard Jeanneret, dit Le Corbusier que la première d’un série devant créer des villes d’un type nouveau, des « cités radieuses », harmonieuses et proches de la nature. « Faite pour des hommes, faite à l’échelle humaine, dans la robustesse des techniques modernes, manifestant la splendeur nouvelle du béton brut, pour mettre les ressources sensationnelles de l’époque au service du foyer » Le Corbusier (dans son discours inaugural de la Cité radieuse)
il y a "Sylvie" de mon cher Nerval
Je sais maintenant que chaque homme porte en lui - et comme au-dessus de lui - un fragile et complexe échafaudage d'habitudes, réponses, réflexes, mécanismes, préoccupations, rêves et implications qui s'est formé et continue à se transformer par les attouchements perpétuels de ses semblables.
Vendredi ou les limbes du Pacifique -
Michel Tournier
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Jacques Truphémus, Au Café, 1975 Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset Yves Bonnefoy. Poèmes pour Truphémus![]() Un café Cet homme et cette femme, Et l’une, alors, Des vitres ? Non, un prisme. Et son rayon Ah, mes amis,
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MAGNIFIQUE!!!!!!
© Musée du Louvre / E. Lessing
MAGNIFIQUE!!!!!
Matthieu Vernet
Rémi Brague, L’Image vagabonde. Essais sur l’imaginaire baudelairien, Chatou : Éditions de la transparence, coll. « cf. », 2008, 137 p.
Le parcours que propose Rémi Brague dans cet essai déroute le lecteur à plus d’un titre. Par son sujet tout d’abord. Spécialiste des philosophies juives et arabes, R. Brague a, par ailleurs, abondamment travaillé sur la philosophie grecque et l’histoire du christianisme européen. Toutefois, ce n’est pas en philosophe qu’il se dit aborder ici la poésie baudelairienne. Au contraire d’un Vincent Descombes appliquant sa philosophie à Proust et lisant le romancier au regard des catégories qu’il propose1, R. Brague propose plutôt une déambulation au cœur de l’œuvre de Baudelaire. Ce parcours étonne, également, par son étendue : le philosophe connaît bien le corpus baudelairien, depuis ses écrits poétiques — bien entendu — à ses écrits esthétiques, ou à sa prose intime. Le plus surprenant reste sans doute les lectures fraîches de simplicité et de raffinement qu’il suggère pour un certain nombre de poèmes des Fleurs du Mal, pour le moins canoniques.