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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1070

  • Romain Gary et Jean Seberg: deux vagabonds en quête du bonheur

    Home CULTURE Cinéma
      • Par Eric Neuhoff
      • Mis à jourle 08/08/2013 à 14:21
      • Publiéle 07/08/2013 à 16:36

    En tee-shirt blanc, elle vendait le New York Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Son délicieux accent résonnait sur les trottoirs. À la fin, elle dénonçait Belmondo à la police. C'était À bout de souffleet la face du septième art en fut, paraît-il, changée. Avant, Jean Seberg avait été Jeanne d'Arc et la Cécile de Bonjour tristesse . Otto Preminger l'avait traumatisée, avec ses manières prussiennes. Elle en conçut un dégoût profond pour les studios. C'est une petite Américaine du Middle West. La Nouvelle Vague en fit son icône. Le film de Godard n'était pas encore sorti quand, en 1960, son mari, l'avocat François Moreuil, l'emmena chez le consul général de France à Los Angeles. Ce fut une erreur

    http://www.lefigaro.fr/cinema/2013/08/07/03002-20130807ARTFIG00358-romain-gary-et-jean-seberg-deux-vagabonds-en-quete-du-bonheur.php

  • L'Asahi va sur Internet à reculons

    Home MON FIGARO Mon Figaro
      • Par Régis Arnaud
      • Mis à jourle 07/08/2013 à 18:15
      • Publiéle 07/08/2013 à 17:28

    «Nous refusons de vous renvoyer nos réponses à vos questions par e-mail. Nous les renverrons par fax, et à défaut par courrier»: ainsi l'Asahi Shimbun, deuxième plus grand quotidien du monde, réagit-il à une demande d'interview sur sa présence sur Internet! Une première indication de son appétence pour l'ère du numérique. Cette institution est née avec la modernité japonaise en 1879, mais elle n'est pas enthousiaste au «monde qui vient». L'un des grands moments de Visions orientales, d'Albert Londres, est son séjour au Japon, en particulier sa visite au quotidien Asahi en 1922: «Huit éditions, dit le directeur. Huit cent mille numéros et à douze pages!», se vante son patron au milieu d'une immense rédaction, où les typographes jonglent avec 3050 caractères chinois.

    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/08/07/10001-20130807ARTFIG00375-l-asahi-va-sur-internet-a-reculons.php

  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage, Venise

    J'ai fini hier soir:"J.M.W. Turner : les paysages absolus"(Mon père me l'a offert pour mon anniversaire

    Trop souvent présentés en France avant tout comme les précurseurs de limpressionnisme, Turner et son ¿uvre sont ici replacés dans le riche contexte historique au sein duquel ils sont apparus. Les trois grandes parties de louvrage font ressortir limportance des idées scientifiques et philosophiques qui, en Grande-Bretagne, ont présidé à lémergence dune école nationale de peinture dont Turner est le fer de lance et son ¿uvre lapogée. Lauteur souligne la façon dont lartiste a mis en ¿uvre une approche empirique de la nature ...

    http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/ogee-frederic/j-m-w-turner-les-paysages-absolus,25505655.aspx

    Précédente publication:

    24/06/2013 16:12

  • Eugène Atget

    Eugène Atget
    Au Griffon, 39 quai de l'Horloge
     
    Tirage entre 1902 et 1913 d'après négatif de 1902
    Photographie positive sur papier albuminé, d'après négatif sur verre au gélatino-bromure.
    Épreuve : 21,8 x 17,1 cm

     
     
     
    © Bibliothèque nationale de France, Estampes Oa 173b réserve, petit folio, microfilm : G045762.
    Mentions manuscrites au dos : numéro de négatif ; sur le support : titre

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  • Baudelaire solaire et clandestin

    La confrontation de la vie et de l'œuvre retrouve une jeunesse lorsqu'on s'avise qu'il n'est pas là de face-à-face mais que l'œuvre intervient, partenaire turbulent, dans le quotidien, que le vécu surgit dans l'écrit, non pour se dire, mais pour infléchir une parole qui ne soupçonne guère sa présence. Moins déroutants que déroutés, les textes des Fleurs du Mal révèlent, à travers les dérobades de l'attendu, les gauchissements de l'évidence, ces quelques faits dont le retentissement dans la sensibilité et l'imaginaire de l'auteur fut décisif. Ils sont peu nombreux, clandestins, liés - qui s'en étonnerait, - à l'enfance et au travail qu'opèrent sur elle la mémoire, la nostalgie, le rêve. Les deux premières parties de ce livre en établissent, de poème en poème, l'autorité. Mais ces énergies se concrétisent en œuvres que gouverne une poétique elle-même conduite selon les hauts et les bas de l'espérance et nourrie de choix clairement conçus. Si la bouche cruelle du poète " éparpille en l'air " cervelle, sang et chair, c'est pour qu'un " globe lumineux et frêle " prenne son essor. En un troisième temps, cet ouvrage vise à déceler par quelles voies le " plus curieux martyr de tout Paris " a pu, de ses tourments, faire si souvent un " songe d'or ".
  • Catégories : Voyage

    Baudelaire

    Jean  PrévostJean Prévost

    Baudelaire


    Présenté par Claude Pichois

    Jean Prévost prend ici Baudelaire à bras-le-corps et l'oblige à nous parler de lui. Les pages sur l'importance du voyage aux Mascareignes, sur Balzac ou Stendhal, Delacroix ou Goya, sur l'influence du physique, sur le rythme, toutes ces pages restent fortes et vives. Elles constituent à la fois une introduction à la connaissance de Baudelaire et une interprétation de son œuvre, étudiée en profondeur.
  • Catégories : Voyage

    A Pommard, un nouveau grand millésime de l'art

    Pomm'Art 2013 offre la vie de château aux artistes contemporains

     

    Dès le 19 avril, au Château de Pommard, en Bourgogne, Pomm'Art 2013 ouvre ses portes!... Une exposition d'art contemporain à déguster comme un Grand Vin.

    A la carte du millésime 2013, côtoyant Marc Chagall, Andy Warhol, Roy Lichtenstein, Julien Marinetti, Richard Orlinski, Josepha, Stéphane Cipre... Les sculptures, uniques, de Paul Beckrich.

    Pomm'Art 2013, une exposition grisante

    Depuis cinq ans, maintenant, la collaboration entre les Galeries Bartoux et le Château de Pommard, domaine viticole de 20 hectares mondialement réputé, donne du corps, et un précieux bouquet, à des expositions d'art

     
     

    contemporain dont l'écrin est le château lui-même.

    Cette année encore, l'assemblage promet une visite grisante, tant dans les jardins que dans la galerie du château.

    A consommer sans modération

    Grandiose, à l'image de ce site légendaire et de la palette des créations exposées, Pomm'Art 2013 présente (et propose à la vente) des oeuvres, pour certaines monumentales, dont la notoriété rayonne sur les cinq continents.

    Dans le parc, dominent les sculptures de Josepha, d'Orlinski, de Cipre... et dans l'une des galeries du château, non loin des cimaises éclairées par des

     
     

    oeuvres de Matisse, de Miró ou de Picasso, deux pièces uniques, ciselées par Paul Beckrich à la manière d'un orfèvre, attirent tout particulièrement les regards.

    Paul Beckrich, le parcours d'une imagination libérée

    La mère de Paul Beckrich était styliste dans une maison de couture. Serait-ce là l'origines des amours de Beckrich pour la noblesse des étoffes, sculptées, qui habillent ses oeuvres d'aujourd'hui?

    Autour de ses 20 ans, tout jeune employé de banque (une voie sans issue pour ce jeune breton né, en 1955, pour être assurément artiste), Paul Beckrich a

     
     

    l'heureuse idée de suivre un stage d'émaillage et de tournage... Des heures, précieuses, qui l'incitent à vite quitter la banque pour l'artisanat et les marchés, où il propose, avec bonheur, ses émaux, ses coupes, ses vases et poteries!

    Bientôt, ses premiers personnages voient le jour, modelés dans la terre, le grés. Enseignant, aussi, dans les centres culturels, Paul Beckrich est sélectionné, en 1987, pour un concours qui le conduit au Japon.

    Le thème du concours est "le vent", et dans ce sujet, pourtant imposé, Beckrich puise un nouveau souffle, une bouffée de liberté créatrice.

    Pour la première fois, ses personnages apparaissent vêtus de légers voiles, qui sont comme tissés dans la céramique. Parcourues par la magie du

     
     

    mouvement, ces créations laissent entrevoir les premiers élans du sculpteur pour une oeuvre qui s'impose par son art de la posture.

    La rencontre avec le succès, scellée dans le bronze

    Hostile à tout système qui risquerait de l'enfermer, à terme, dans des créations répétitives, le sculpteur s'éloigne de la céramique, de la terre, dont il pense avoir fait le tour. Il "s'attaque" à la majesté du bronze, avec, pour allié, le célèbre Atelier de fonderie Delval.

    En osmose avec la fonderie, Paul Beckrich se lance à la conquête de patines inexplorées, claires ou foncées, aborde des camaïeux, inédits, de prunes, de bleus, de verts, décline les oppositions de matières, depuis le

     
     

    polissage jusqu'aux incrustations d'or ou d'argent.

    Remarqués, dans la fonderie Delval, par Robert et Jean Guy Bartoux, les premiers bronzes de Paul Beckrich marquent les débuts de la lumineuse collaboration entre l'artiste et les Galeries Bartoux.

    Au château de Pommard, les deux sculptures en bronze de Paul Beckrich, incrustées de pierres précieuses, flamboient comme des joyaux. Elles témoignent de la singularité du talent de l'artiste.

    Paul Beckrich, ce joyau du mouvement, de la vie

    Bien que figées dans l'éternité, les oeuvres de Paul Beckrich sont portées par

     
     

    la grâce du mouvement. Elles semblent toujours prêtes à s'élancer dans la vie, dans l'action avec noblesse et fière allure.

    Glorieux personnages des contrées du soleil levant ou d'Afrique, princes ou guerriers en tenue d'apparats, sultans sertis de mille et une nuances ... L'inspiration de Paul Beckrich voyage dans les cultures lointaines, invite à s'abreuver aux sources de couleurs luxuriantes. Ses sculptures sont autant d'instantanés oniriques, où l'esprit et les sens vibrent dans de sensuelles correspondances.

    Qui pourrait demeurer insensible (on n'ose dire... "de marbre"!) devant ces bronzes, chatoyants, qui donnent à voir l'âme de personnages

     
     

    millénaires, infiniment présents !?

    Pomm'Art 2013 ouvre ses portes, au coeur du Château de Pommard, dès le 19 avril 2013 et accueille les visiteurs tous les jours, de 10 heures à 18 heures (entrée 21 euros comprenant visite, dégustation commentée et accès exposition - gratuit pour les moins de 16 ans).

    L'exposition prendra fin bien après les vendanges... le 30 novembre 2013.

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  • VAN GOGH à Arles et Saint-Rémy

    Vincent Van Gogh Tableaux et œuvres Biographie Van Gogh à Arles

    Van Gogh à Paris Van Gogh à Saint-Rémy Van Gogh à Auvers sur Oise

    A Arles et à Saint-rémy de Provence, Vincent Van Gogh ira chercher le soleil de la provence. Il y rencontra une certaine hostilité et eut de la peine à y trouver des modèles.

     

    Van Gogh, possédé de la passion de peindre en couleurs franches et dans la clarté, s'est livré à Paris à l'étude des coloristes. Il a accompli sur lui-même le travail voulu, pour réaliser le passage de la peinture noire à la peinture claire. Mais quand il entre dans une voie, il s'y engage à fond. Aussi, pour obtenir des œuvres aussi éclatantes que possible, il ira peindre dans un pays où l'éclat du soleil lui permettra de porter à leur suprême puissance les couleurs de sa palette.

    Il est passé des Pays-Bas à Paris. Il y trouve déjà plus de lumière, mais elle est toujours insuffisante. Il lui faut encore s'avancer vers le soleil. Dans les dispositions où il se maintient, rêvant du Japon qu'il s'est représenté comme le pays de la couleur, de la lumière, de la beauté par excellence, il s'y fût sans doute rendu, si ses ressources le lui eussent permis. Mais il vit dans la gêne. Il dépend de son frère Théodore, il ne subsiste que des secours qu'il en reçoit. Ce frère dévoué le garde chez lui depuis qu'il est à Paris, faisant un sacrifice assez facile à supporter, mais qui sera autrement lourd quand Vincent en viendra à abandonner la vie commune, pour mener au loin une exsistance séparée. Dans ces conditions, le choix, comme lieu de séjour, parmi les pays de grand soleil, devra porter sur celui qui sera le plus aisément accessible de Paris, afin de réduire autant que possible les frais, et le pays qui s'offre ainsi est la provence.

    L'attention de Van Gogh dut être tout d'abord attirée sur la Provence par les toiles lumineuses que Claude Monet avait rapportées d'une ville située dans son voisinage immédiat, de Bordighera, où il était allé peindre en 1884. Van Gogh n'a pu manquer de les voir dans le magasin du boulevard Montmartre, où son frère Théodore tenait les œuvres des peintres impressionnistes admis par la maison Goupil et particulièrement celles de Claude Monet. Van Gogh a dû encore se sentir attiré vers la Provence par la gratitude qu'il doit à Monticelli, un véritable Provençal, un Marseillais, auquel il a emprunté lorsqu'il s'est épris de la couleur. C'est donc en Provence, à Arles, qu'il ira chercher le soleil. Il a dû choisir Arles, en particulier, pour les mêmes motifs qui lui avaient fait choisir la Provence elle-même : Arles est en effet, des grandes villes provençales, la moins éloignée de Paris. Par son site elle offre, d'ailleurs, des avantages à un peintre. Elle est en plein dans la région des oliviers, voisine de la Méditerranée, sur un grand fleuve, le Rhône, près des terres singulières d'aspect de la Crau et de la Camargue.

    Van Gogh quitte Paris et arrive à Arles en février 1888. Emile Bernard qui a été en correspondance suivie avec lui, pendant son séjour à Arles, dit qu'il fut loin d'y être bien accueilli, qu'il y rencontra une certaine hostilité, qu'il eut de la peine à y trouver des modèles. (1) Rien de moins surprenant. Il n'y connaissait personne et y tombait, si l'on peut dire, comme un aérolithe. Les Arlésiens voient tout à coup apparaître un homme d' aspect singulier. C'est un étranger, venu du nord, blond-rouge de barbe et de chevelure, aussi différent d'eux que possible. Il est vêtu avec une négligence qui le rapproche des gens du peuple. Il est dans la gêne. Il se montre obligé à une extrême économie. Il vient pour exercer un art dont il ne tire apparemment aucun profit. Que peuvent bien en penser les Arlésiens? Ils n'ont encore jamais vu du peintre s'établir dans leur ville. Il n'existe pas d'artistes parmi eux, pour leur expliquer qu'on puisse travailler d'une façon désintéressée à la poursuite d'un idéal. C'est pourquoi tous ont dû d'abord le regarder avec étonnement et beaucoup n'ont pu s'empêcher de le tenir en suspicion, de voir en lui un être au moins énigmatique.

    Dans les conditions où Van Gogh se trouve à Arles, il y vivra replié sur lui-même. Il n'aura de relations avec aucun des habitants bien placés. Il ne s'inquiète point de rechercher leur société. Il ne se tiendra en rapports qu'avec cette sorte de gens qui pourront lui être utiles : hommes et femmes du peuple qui gracieusement voudront bien lui servir de modèles ou qui, de par leur condition, se contenteront pour poser du faible salaire qu'il peut leur donner.

    Les individus de l'ordre le plus élevé qu'il peindra pendant son séjour à Arles sont un facteur de la poste, Roulin, et un sous-lieutenant de zouaves, Milliet, qui a le goût du dessin, qui posera pour lui et en recevra en compensation des leçons de dessin. Les relations avec le sous-lieutenant, qui quitte Arles assez promptement, furent de courte durée, mais elles se prolongèrent avec le facteur, qui finit par éprouver pour le peintre un véritable attachement. Van Gogh a peint Roulin plusieurs fois dans son uniforme. Il a peint aussi sa femme et a exécuté d'après elle la composition qui s'est appelée la Berceuse. Il a encore peint les enfants Roulin. Pour les tableaux de l'Arlésienne, la femme en costume local d'Arles, qui a servi de modèle, c'est une dame Ginoux, dont le mari tenait près de la gare un café où Van Gogh se rencontrait précisement avec Roulin.

    Il s'est logé, à son arrivée à Arles, dans un restaurant. Il y vit sur le pied de cinq francs par jour, qu'il fait bientôt réduire à quatre. Après il a loué à une extrémité de la ville, sur la place Lamartine, une petite maison, une bicoque, composée de quatre pièces, deux au rez-de-chaussée et deux à un premier étage. Elle a été peinte en jaune à l'extérieur, sous sa direction; les murs à l'intérieur sont badigeonnés à la chaux. Il nous a donné un croquis de la maison, un dessin et deux tableaux à l'huile de sa chambre à coucher. Le mobilier n'est pas luxueux. Un lit de bois blanc, deux chaises de paille du même bois et une petite table servant de support à une cuvette et à un pot à eau. Il a meublé de même manière la seconde chambre de son premier étage, pour pouvoir y loger un ami, et a laissé vides les deux pièces du rez-de-chaussée, qui lui serviront d'atelier et de dépôt.

    Il va, ainsi établir, s'absorber dans son travail. Il est toujours prêt à affronter la solitude et la manque de bien-être, s'il le faut, pour se livrer à une poursuite d'ordre élevé. Il reprend donc à Arles, dans d'autres conditions, mais d'une façon aussi spontannée, la vie austère à laquelle il s'est une première fois soumis, lorsque, quittant famille et amis, il est allé dans le Borinage évangéliser les mineurs. C'est un homme pour lequel les soucis d'ordre matériel, les préoccupations du succès dans une carrière, la recherche du bien-être n'existent pas.

     

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    (1) Lettres de Vincent Van Gogh à Emile Bernard, page 16.

    Extrait de Van Gogh Théodore DURET (Edition définitive) 1924 - Bernheim-Jeune

    DURET, Théodore (Saintes, 1838 ~ Paris, 1927)

     

     

     

    Van Gogh à Arles et Saint Rémy - Vincent Van Gogh à Arles et Saint Rémy

    (téléchargement d'une vidéo sur AUVERS SUR OISE)

    http://www.guide-touristique.info/tfr/video/auvers.mpg

    http://www.van-gogh.fr/van-gogh-a-arles-et-a-saint-remy.php

  • André Chabin

    Photographie de André Chabin

    André Chabin est directeur de l'association Ent'revues. Il organise et participe à de nombreux
    colloques, journées de réflexion et autres manifestations sur les
    revues contemporaines. Il est également l'organisateur du Salon de la revue et rédacteur en chef de La Revue des revues. Ent'revues a créé le site de
    référence sur les revues contemporaines www.entrevues.org.

    • Arts & Spectacles

      14.10.2011 - Pas la peine de crier│11-12
      Passer le monde en revue 59 minutes Écouter l'émissionAjouter à ma liste de lectureRecevoir l'émission sur mon mobile

      Sur un plateau, un salon. 21ème du nom, le Salon de la Revue se tient à Paris les 15 et 16 octobre. Son fondateur, André Chabin,  est aussi le directeur de l'association Ent'revues connue notamment pour son site de référence sur les revues contemporaines, entrevues.org. A ses côtés, Damien Baldin et Émilie Giaime, représentants d'une jeune revue, Geste. Geste de comédien, de l'artisan, de ...
  • Aline : « La France est un pays difficile pour la pop »

    Propos recueillis par Pauline Le Gall - Le 31/12/2012

     

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    Aline : « La France est un pays difficile pour la pop »

    Lescop, Granville, La Femme… On ne parle plus que de la pop française dont Aline est une figure de proue, le lien manquant entre les Smiths et Etienne Daho. Des paroles mélancoliques, des lignes mélodiques claires et catchy, le groupe signe « Regarde le ciel » et s'embarque le 24 janvier pour une tournée dans toute la France, qui passera par l'Alhambra le 28 mai.

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  • Catégories : Voyage

    Agadir, l'autre escapade au Maroc

    Home CULTURE Voyages
    Le style du Sofitel Agadir Thalassa Sea & Spa, tout en lignes basses et tendues,navigue entre artisanat marocain et design occidental.

    Le style du Sofitel Agadir Thalassa Sea & Spa, tout en lignes basses et tendues,navigue entre artisanat marocain et design occidental. Crédits photo : Grégoire Gardette/Sofitel-Groupe ACCOR

    Fille d'Atlantique, de soleil (300 jours par an) et du désert qui pointe
    à ses portes, elle s'est donné les moyens de séduire ses visiteurs

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  • A Sète, la plus belle vue sur la Méditerranée est offerte… aux défunts

    Le Cimetière marin est l’un des deux cimetières sétois, l’autre étant le Py, le « cimetière des pauvres », route de la Corniche, où le seul « grand homme » est Georges Brassens.
    Les deux sont très visités par les touristes, pour les grands noms qui y sont enterrés, Paul Valéry, Jean Vilar…. Mais aussi, dans le cas du Cimetière marin, pour une atmosphère magique. Lorsque le ciel et la mer mélangent leurs bleus, et que la brise est douce, l’esprit des poètes vous effleure…

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    Avant toute chose, montez, montez, montez, la vue se mérite : regardez les bateaux de pêche entrer et sortir du port, auréolés de leur escorte de mouettes, avec leur traîne d’écume…

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  • A propos des chefs-d'oeuvre

     Syndiquer le contenu

     

    Tentative de définir le concept de chef-d'oeuvre littéraire en mêlant fiction, analyse, confession, étude et humour, avec des chapitres inattendus comme les chefs-d'oeuvres pour chacun ou les chefs-d'oeuvres détestables.

    • Entretien

      26.03.2013 - Du jour au lendemain
      Charles Dantzig 34 minutes Écouter l'émissionAjouter à ma liste de lectureRecevoir l'émission sur mon mobile

          Alain Veinstein reçoit Charles Dantzig pour "A propos des chefs-d'oeuvre" (Grasset)
    • Arts & Spectacles

      04.02.2013 - Pas la peine de crier
      A propos d'eux 59 minutes Écouter l'émissionAjouter à ma liste de lectureRecevoir l'émission sur mon mobile

      Premier pas dans cette semaine placée sous le signe du chef-d'oeuvre. Nous recevons l'écrivain Charles Dantzig, auteur de A propos des chefs-d’œuvre (Grasset), nous discuterons avec lui de la notion de chef-d’œuvre en littérature.
  • Actu du jour

    Le Figaro ‎- De Pierre Rousselin ‎- il y a 19 heures
    Obama à la peine_JPEG-04008.jpg Barack Obama traverse un été difficile. Son premier mandat ayant déçu, il ne lui reste plus beaucoup de ...

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    La Canebière, mémoire du Marseille populaire

     

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