Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
ZINE EL ABIDINE EL AMINE, artiste peintre plasticien marocain
Allez voir son site où vous pourrez admirer ses oeuvres (que je ne peux pas présenter ici).
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-Philippe Picquart à la galerie Zénitude jusqu'au 31 mai (déjà vu avant au Comptoir du Saumon). A découvrir sur son site:http://www.memoiresurbaines.com/
-Housbane (Saïd), exposé il y a quelques temps au Carrefour des Arts.
http://www.artmajeur.com/?go=see&image_id=1137897
- A la galerie du Chevalet, espace des arts,(déjà évoqué ici: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/04/16/belyasmine-el-mostafa.html)
beaucoup d'artistes dont Belyasmine déjà évoqué ici(http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/04/16/belyasmine-el-mostafa.html)
Exposition exceptionnelle présentée
par Attijariwafa bank & la Manufacture nationale de Sèvres
du 19 avril au 15 juin 2007
à l’espace d’art Actua, 60 rue d’Alger, Casablanca
Vernissage : mercredi 18 avril 2007
Les années 30 furent une période de renouveau artistique, notamment dans le domaine de la céramique. Chacune à sa manière, la Manufacture nationale de Sèvres, en France et « l’école de Safi » au Maroc, participèrent au mouvement Art Déco. C’est ce que cette exposition propose de découvrir et la ville de Casablanca, particulièrement associée au mythe des années 30, est sans aucun doute le cadre idéal pour une telle manifestation.
Pour la première fois de son histoire, la Manufacture de Sèvres présente ses productions au Maroc : porcelaines bien sûr et, plus inattendus, faïences et grès ainsi que de nombreux projets de décors, réunis pour cette occasion parmi sa propre collection et celle du prestigieux Musée national de céramique à Sèvres. Les céramiques et archives de « l’ école de Safi », des maîtres-artisans Lamali, Serghini, Benbrahim, et bien d’autres, proviennent de collectionneurs passionnés depuis de nombreuses années par la préservation de ce patrimoine.
Cette exposition est co-organisée par Attijariwafa bank et la Manufacture nationale de Sèvres, avec le soutien de l’Ambassade de France, de l’Ecole d’Art et de Communication de Paris (EAC) et de l’IFC.
Plus d'infos et de photos:http://manufacturedesevres.culture.gouv.fr/site.php?type=P&id=97
Dans un volume de 1 600 pages, Jean-Paul Liégeois a la formidable idée de rassembler les « OEuvres complètes » de Georges Brassens (Le Cherche Midi, 25 euros). Il nous fait découvrir ici deux recueils de poèmes inédits (« les Couleurs vagues » et « Des coups d'épée dans l'eau »), deux romans introuvables (« La lune écoute aux portes » et « la Tour des miracles »), une centaine de chansons écrites pendant et après la guerre ainsi que les lettres au philosophe libertaire Roger Toussenot. Grâce à ce livre, Brassens a enfin sa place parmi les écrivains. «Je passe le plus clair de mon temps en la compagnie des gens de la chanson. Inutile de nous étendre sur leur mentalité. Entouré de cinquante personnes des trois sexes, je me rends à l'évidence: je suis seul», écrivait Brassens en 1949. C'était avant que Patachou ne le pousse sur scène et qu'il y monte à reculons. Pour s'y plaire finalement.
Sophie Delassein
Le Nouvel Observateur - 2215 - 19/04/2007

Exact contemporain d’Eugène Delacroix, Bra participa fortement de l’époque romantique par sa personnalité intransigeante et illuminée. Ces encres inconnues, sélectionnées parmi les quelques dix mille feuillets légués à sa ville natale démontrent une nature rebelle exaltée, opposée à tout académisme.
Ce très singulier romantique, second Prix de Rome en 1818, reçut d’importantes commandes officielles sous la Restauration et la Monarchie de Juillet (Palais du Louvre et Arc de Triomphe, Versailles, statues d’églises, marbres et plâtres au musée de la Chartreuse à Douai...).
Estimé des cercles intellectuels et savants, Bra, indépendant des milieux artistiques parisiens, fascina Balzac et George Sand. Outre L’Evangile rouge (1826-29), journal intime nourri de ses étranges visions du monde, de ses délires spirituels et de ses théories de l’art originales, ses manuscrits témoignent, pour reprendre les mots de Jacques de Caso, « d’un dérangement émotionnel à caractère mystique, » suscitant une ferveur créatrice prolifique et fébrile. Cultivant un graphisme compulsif qui griffe la feuille à l’encre de Chine, Bra développe des motifs complexes aux commentaires obscurs sur des concepts obsessionnels et des pensées tourmentées :Têtes de feu et autoportraits, hiéroglyphes, Être Suprême, chimères, taches et abstractions…
Son inspiration fantastique évoque les univers habités de Goya, William Blake ou Victor Hugo. Son génie illuminé précède ainsi de manière prémonitoire certains dessins et poèmes automatiques des surréalistes.
Exceptionnelle par son ampleur, cette manifestation sera une découverte magistrale pour tous les publics.
Commissariat
Daniel Marchesseau, directeur
conservateur général du Patrimoine
Jacques de Caso, commissaire invité professeur emeritus, Université de Berkeley, Usa.
Musée de la Vie romantique
Hôtel Scheffer-Renan
16 rue Chaptal - 75009 Paris
tél. : 01 55 31 95 67 fax. : 01 48 74 28 42
Ouvert tous les jours, de 10h à 18h
sauf les lundis et jours fériés
Contact Presse
Céline Poirier
tél. : 01 55 31 95 63
celine.poirier@paris.
http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=144&document_type_id=2&document_id=24980&portlet_id=9873
Jacques Stella s'affranchit de Poussin
Au Musée des Augustins de Toulouse, une rétrospective de Jacques Stella, peintre de Richelieu, longtemps éclipsé par Poussin, auquel on avait attribué certaines de ses toiles.

Exposition du 20 janvier 2007 au 22 avril 2007
Médiathèque Jean Lévy
32/34 rue Edouard Delesalle
59000 Lille
Dans les années 1930, le visage de la Grèce se régénère. Les répercussions qui sont alors nombreuses entre arts décoratifs et arts plastiques, entre écriture et illustration, entre pittoresque et dépaysement ont forcé les artistes à repenser l’illustration des classiques et à définir une grécité qui échappe au classicisme et aux récupérations réactionnaires.
Les principaux artistes modernes (Braque, Hayter, Laurens, Le Corbusier, Masson, Matisse, Picasso, Springer, Zadkine…) défendent et maintiennent une certaine image de la Grèce, éclairée ou vivante, complexe et solaire à travers l’illustration de textes fondateurs ou de véritables manifestes sur l’art de vivre et de penser un retour éclairé aux sources.
L’exposition offre l’occasion d’appréhender un milieu éditorial marqué, pour différentes raisons, par la Grèce. Aux figures de Christian Zervos de la revue Cahiers d’art et de la galerie éponyme s’ajoute celle de Tériade, d’origine grecque également, directeur de la revue Verve et éditeurs de grands livres ou encore de Hercule Joannidès Zélateur discret de la revue le voyage en Grèce qui voulait « créer un lien entre la Grèce et ses voyageurs par l’intermédiaire des écrivains, des artistes et des savants contemporains ».
L’exposition articulera livres illustrés, estampes originales et dessins mais aussi manuscrits enluminés et éditions rares conservés dans le fonds de la Bibliothèque Municipale de Lille afin de rendre perceptible, dans le temps, les différentes interprétations et d’éprouver la pérennité de cette référence au prisme de son actualisation et de ses instrumentalisations.
Les sections seront toutes accompagnées par des revues (L’Esprit Nouveau, Cahiers d’art, Minotaure, Verve, Le Voyage en Grèce…) conçues comme un véritable« atelier » où s’élaborent autant l’esprit de la Grèce moderne que son imaginaire. Une importante documentation iconographique, photographique et littéraire sera également présentée dans leur relation avec l’estampe et l’image imprimée.
Un catalogue de 160 pages / 120 illustrations en couleurs est édité par De Gourcuff à cette occasion.
Visites guidées, colloque, conférences et activités pédagogiques seront proposés autour de l’exposition.
L’exposition est co-réalisée par le Musée d’art moderne de Lille Métropole et la Bibliothèque Municipale de Lille dans le cadre de l’opération Feuille à Feuille. Estampe et images imprimées dans les collections des musées du Nord - Pas de Calais, labellisée exposition d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication, Direction des Musées de France.
Entrée libre du mardi au samedi de 12h00 à 18h45
Ouverture exceptionnelle les dimanches 4 février, 4 mars, 1er et 22 avril de 14h00 à 18h45
Renseignements :
Médiathèque Jean Lévy Tel : 03 20 15 97 20
Musée d’art moderne de Lille Métropole :
http://www.mamlm.fr/
Url de référence : http://www.bm-lille.fr/bmlille/bmlille.php?rub=44
http://www.fabula.org/actualites/article17769.php

La Koutoubia
http://art-maroc.freehostia.com/B/Belyasmine/
Ce peintre est exposé à la galerie Le Chevalet jusqu'au 21 avril
Eldon & Choukri Auctioneers organisent une vente aux enchères samedi 21 avril à 16h30. Les collectionneurs et amateurs pourront découvrir une sélection d’œuvres d’art de plus de cent quarante lots. Pour avoir le catalogue ou pour tout autre renseignement, téléphoner au 022-94-99-85
Il est possible de voir les oeuvres du 17 au 21 avril.
http://www.leconomiste.com/culture/
A la galerie Memoarts le 22 avril à 16h30; catalogue consultable en ligne:http://www.memoarts.com/
Henri Maldiney (âgé aujourd’hui de plus de quatre-vingts ans) est l’un des grands universitaires français (au même titre, par exemple, que Paul Ricœur – même s’il fut moins médiatisé que lui). Philosophe reconnu de ses pairs en France et à l’étranger, il est l’un des principaux représentants de la phénoménologie (un des courants majeurs de la philosophie du XXème siècle). Maldiney fréquenta Heidegger lui-même. Il fut un collaborateur de la célèbre revue d’art Derrière le Miroir. Son œuvre écrite est importante et ne se rapporte pas seulement à la philosophie et l’esthétique, mais également à la psychiatrie et la psychanalyse, notamment la psychologie des profondeurs (cf. Penser l’homme et la folie, éditions Jérôme Millon, 1991).
Les livres d’Henri Maldiney sont nombreux, bien que beaucoup soient aujourd’hui épuisés. Citons notamment :
[ 4ème de couverture] de « L’art, l’éclair de l’être » "L’art n’a pas d’histoire. Et c’est dans un faux jour que l’historien et le sociologue le perçoivent et le fixent. Ils sont alors aveugles à la merveilleuse fragilité de son surgissement, à l’unicité de sa temporalité, de sa solitude sans voisinage.
C’est ce paradoxe, fondateur d’un regard et d’une parole proprement phénoménologiques, que les diverses études ici réunies soutiennent; études qui, par leurs propos singuliers sur les œuvres singulières d’André du Bouchet, de Tal Coat ou de Cézanne, et d’autres encore, touchent à l’essence de la poésie, de la peinture, mais aussi de la sculpture ou de l’architecture.
Tout entier tourné vers la fragilité commune du beau et de l’existence, cet accueil de l’œuvre d’art en son unicité impose alors une complète réélaboration des ontologies traditionnelle et existentiale pour s’ouvrir, contre toute intentionalité ou tout projet auxquels l’œuvre devrait se plier, à l’Ouvert qui seul donne: s’ouvrir au Rien, ce vide éclaté.
C’est portées par ce vide, cette déchirure du rien qu’est l’éclair de l’être, que ces présences artistiques nous apparaîssent alors en leur vérité, dans la nudité de la naissance."
http://www.editionscompact.com/medias/revues/ZOOM/zoom_01_2005.html
Philipp Otto Runge (23 juillet 1777 à Wolgast, † 2 décembre 1810 à Hamburg) était un peintre, dessinateur, écrivain et théoricien de l’art allemand, l’un des plus grands représentants de l’art romantique avec Caspar David Friedrich.
Né dans une famille de charpentiers de marine, Runge décide de devenir artiste après avoir lu des poèmes de Tieck.
Il étudie à l'académie de Copenhague (1799-1801) sous la direction de Jens Juel, puis s'installe à Dresden, où il fait la connaissance de Caspar David Friedrich. En 1803, il déménage pour Hambourg. Runge avait un état d'esprit mystique et panthéiste, et a essayé de rendre dans son oeuvre l'harmonie de l'univers en utilisant le symbolisme de la couleur, des formes et des nombres. Il a aussi écrit de la poésie et planifia dans ce but une série de quatre tableaux intitulée "Les moments du jour", destinés à être exposés dans un bâtiment spécial et accompagnés de musique et de poésie. Il cherchait ainsi à atteindre l'"art total", comme d'autre artistes romantiques. Il a peint deux versions du Matin (Kunsthalle, Hambourg), mais les autres moments sont restés au stade de dessin.
Runge était aussi un des meilleurs portraitistes allemands de son époque ; plusieurs de ses portraits sont visibles à Hambourg.
En 1810, après plusieurs années de recherche sur les couleurs et de correspondance avec Johann Wolfgang von Goethe, il publie Die Farbenkugel (La sphère des couleurs), dans lequel il décrit un schéma en trois dimensions pour organiser toutes les nuances.
Runge est mort de tuberculose à Hambourg.
Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni, plus connu sous le nom de Michel-Ange (Caprese, au nord d'Arezzo en Toscane, le 6 mars 1475 et mort à Rome, le 18 février 1564), est un peintre, sculpteur, poète et architecte italien de la Renaissance
Ses sculptures les plus connues incluent le David, la Pietà de la basilique Saint-Pierre dont il a également conçu le dôme, le tombeau de Jules II et notamment le Moïse. Pour la peinture, on retient le plafond de la chapelle Sixtine, le Jugement dernier au-dessus de l’autel, le Martyre de saint Pierre dans la chapelle Paolina du Vatican.
sOURCE: Wikipedia
Par MorganeC, mercredi 14 mars 2007 à 09:08 :: Musées à Paris :: #1626 :: rss
La Fondation Pierre-Gianadda passe l'oeuvre au crible de la thématique circassienne.



| Edvard Munch (1863-1944) porte un regard impitoyable et pénétrant sur les sentiments humains les plus profonds comme la solitude et l'amour, ainsi que sur la mort, qui l'a toujours obsédé. Le devenir et la disparition, la destruction et la création, tels sont ses thèmes de prédilection. Il emploie une grande variété de moyens pour les exprimer : la dissolution et la fusion de figures dans le fond, le dépassement opiniâtre du bord de l'image, le grattage de la surface picturale. Il va jusqu'à employer un " remède de cheval ", exposant un certain nombre d'oeuvres à l'air libre et les soumettant ainsi à la pluie et à la neige. Munch dépasse avec une grande cohérence les frontières traditionnelles entre peinture et gravure ; il utilise également la photographie, et son traitement peu conventionnel du motif et de la matière ouvre, dès le tournant du siècle, une échappée sur l'ensemble du XXe siècle. | ||
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| Publié le 08/12 à 10:19 |
http://cultureetloisirs.france3.fr/artetexpositions/actu/26576035-fr.php
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J'avais déjà assisté à des ventes aux enchères mais ce qui m'intéressait (pas pour acheter:: même le moins cher n'était pas à ma portée) dans celle-ci, c'étaient surtout les tableaux.J'ai pu découvrir des artistes que je ne connaissais pas et en redécouvrir d'autres.
Lucien Joseph Fontanarosa(1912-1975).
En 1932, il intègre l'atelier Lucien Simon à l'Ecole des Beaux-Arts.La ville de Paris lui décerne en 1935, le Grand Prix d'Afrique du Nord, ce qui lui permet de travailler un an au Maroc (séjour à Fès et voyage à Tafilet). Il obtient le Grand Prix de Rome en 1936.
De retour au Maroc, il voyage dans le Sud et expose à Rabat.
Son "Portrait de femme" (aquarelle gouachée sur calque, pièce 21 du catalogue) était estimé entre 11 000 et 12 000 Dirhams, a été mis à prix à 10 000 mais n'a pas été vendu.
Le tableau ci-dessous n'a rien à voir avec l'oeuvre mise en vente, juste pour que vous ayez une idée de sa façon de peindre.Il se trouve sur un site qui lui est consacré:http://www.fontanarosa.com//
POUR LE PRIX APPROXIMATIF EN EUROS,DIVISER LE PRIX EN DIRHAMS(Dhs,LA MONNAIE MAROCAINE) PAR 10. POUR VOIR LE CATALOGUE DE CETTE VENTE : http://www.eldonetchoukri.com/ffff11111.pdf
J'avais déjà assisté à des ventes aux enchères mais ce qui m'intéressait (pas pour acheter:: même le moins cher n'était pas à ma portée) dans celle-ci, c'étaient surtout les tableaux.J'ai pu découvrir des artistes que je ne connaissais pas et en redécouvrir d'autres.
Paul Cirou(1869-1951)
Elève de l'Ecole des Beaux-Arts de Dijon, Cirou débute au Salon de la Société des Artistes Français en 1898. Il découvre l'Algérie en 1907, puis s'y installe vers 1912. A partir de 1920 et jusqu'en 1932, il vit à Tlemcen, puis, de 1933 à 1935, à Mascara, avant de revenir en France. L'Etat lui achète des oeuvres, dont une toile 200 x100cm, Porteuses d'eau Kabyles, conservée au Musée des Années 30 à Boulogne-Billancourt.
Source:http://orientaliste.free.fr/expovirt/t19.html
Sa "Nature morte" (aquarelle sur papier, lot 44 dans le catalogue)proposée était estimée entre 8000 et 10 000 Dhs, a été mise à prix à 5000 et vendu 7500.
POUR LE PRIX APPROXIMATIF EN EUROS,DIVISER LE PRIX EN DIRHAMS(Dhs,LA MONNAIE MAROCAINE) PAR 10.
Un autre tableau de lui:La mariée sur la route (source:http://www.artnet.com/picture.asp?date=20031208&catalog=17874&gallery=111589&lot=00244&filetype=2)
POUR VOIR LE CATALOGUE DE LA VENTE : http://www.eldonetchoukri.com/ffff11111.pdf
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Hassan El Glaoui est né en 1924 à Marrakech. Dans les années 50, il se rend à Paris étudier à l’école nationale des Beaux-arts, puis fréquente assidûment l’atelier d’Emilie Charmy, durant une dizaine d’années.
En début de carrière ; il peint majoritairement des portraits à l’huile par transposition.
Par la suite, il s’adonne à un thème qui deviendra récurrent tout au long de sa carrière : celui du cheval et des fantasias, ou il utilise alors la gouache pour sa légèreté et sa maniabilité.
Artiste de renommée internationale, Hassan El Glaoui doit l’apogée de sa célébrité à l’orientalisme de se peintures.
SOURCE:http://www.matisse-art-gallery.com/artistes.htm
2 tableaux de cet artiste étaient en vente:
1. "Les chevaux bleus"(lot 87 du catalogue, aquarelle sur papier), estimé entre 28000 et 30000Dhs, mise aux enchères à 25 000, vendu 32000.
2. "Mokhazni et cavaliers" (lot 88 du catalogue, huile sur panneau), estimé entre 140 000 et 160 000 Dhs, mis aux enchères à 120000, vendu 180 000!!!!!
La pièce la plus chère vendue avant mon départ (lorsque tous les tableaux ont été proposés à la vente).
J'ai beaucoup aimés 2 huiles ("Le hammam" et "Le bain maure") de Jean Pierre Favre qui n'ont pas été vendues et sur lequel je n'ai rien trouvé sur le net.
Quelqu'un peut-être le connaît?....
Et d'autres peintres, sur lesquels, soit, je n'ai pas trouvé de reproductions, soit pas de biographies.
Il y avait aussi de la vaisselle, du mobilier, des tapis, des sculptures, des caftans, des bijoux, des poignards etc.
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Il y avait aussi un joli petit bronze (cire perdue à patine verte représentant une jeune femme assoupie, lot 60 du catalogue) de Jean-Baptiste Carpeaux qu'une dame a acheté pour 7 000 Dhs (700 Euros, moins que son estimation); ce qui m'a paru peu cher, compte tenu de la renommée de l'artiste...
Pensionnaire de la Villa Médicis : Rome - Italie de 1856 à 1859
Matériaux : Marbre
Date : entre 1857 et 1867
Site en relation : Carpeaux, Jardin des Tuileries
Région en relation : Rome (Italie)
Acquisition : Don de Charles Ulrick et de la Fondation Josephine Bay (1967)
Le thème tragique d'Ugolin, l'un des héros damnés de La Divine Comédie de Dante, inspirera de nombreux artistes romantiques ou symbolistes, notamment Delacroix et Rodin. Ugolin della Gherardesca, tyran de Pise au XIIIème siècle, enfermé avec ses enfants et petits-enfants par son ennemi l'archevêque Ubaldini, sera condamné à mourir de faim après avoir consommé la chair de sa progéniture.
Le groupe exposé dans cette salle sera exécuté par Jean-Baptiste Carpeaux alors qu'il était pensionnaire à la Villa Médicis, siège de l'Académie de France à Rome. Ugolin ne correspondait pas aux standards de cette Académie. L'intention initiale de Carpeaux, très influencé par Michel-Ange, était de réaliser un bas-relief. C'est en 1860, lors d'un voyage à Paris, que Carpeaux modèlera l'esquisse en terre cuite (Musée d'Orsay), sur laquelle apparaît un quatrième enfant. S'inspirant du Laocoon du musée du Vatican il représentera Ugolin assis, se mordant les mains, les pieds crispés l'un sur l'autre, tandis que ses enfants, mourants, se traînent auprès de lui.
Le plâtre (Musée du Petit Palais à Paris) remportera un grand succès lors de son exposition à Rome en novembre 1861. A Paris, le groupe sera mal accueilli par l'Institut. Le bronze de cette salle sera commandé par l'Etat en 1862 et placé dans l'allée transversale des Jardins des Tuileries face au Laocoon. Il y restera jusqu'en 1904. Le marbre présenté à l'Exposition Universelle de 1867 est celui qui est aujourd'hui exposé au Metropolitan Museum de New York.
Source:http://www.insecula.com/oeuvre/O0007311.html
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Femmes dans la palmeraie, gouache et pastels, 60x45
(source:http://www.bou-saada.net/ArtXIII.htm)
Edouard HERZIG (1860-1926) : Peintre de genre, il pratique l'huile, la gouache, l'aquarelle ou le dessin. Il fut aussi illustrateur et décorateur. Il s'installe très jeune en Kabylie où il peint des scènes orientalistes.
CF. UN DE SES TABLEAUX CI-DESSUS.
source:http://orientaliste.free.fr/biographies/artistes1e.html#H
Son aquarelle mise en vente et représentant Tanger, estimée entre 12 000 et 15 000 Dhs,mise aux enchères à 10 000, n'a pas trouvé preneur.
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Fatima El Farouj
Fatima El Farouj, 61 ans, est l’un des rares noms incontournables du patrimoine pictural marocain. L’un des derniers aussi…
Fatima El Farouj… de la première garde au dernier souffle d’une génération d’autodidactes, qui n’ont rien fait de moins que d’écrire l’histoire de la peinture marocaine contemporaine. Alors, forcément, lorsqu’on la rencontre, on touche du doigt un monde de rêve et de légendes… On entre également de plain pied dans la réalité d’une vie simple et discrète où la création revient lorsque le quotidien le permet, que l’Art laisse peu à peu place à l’âge et à la maladie.
Lorsque son père, artisan, décède, Fatima est âgée de 8 ans. La petite famille quitte alors Tétouan pour Salé. C’est sa mère qui subvient aux besoins, aidé, par les siens et son aînée. Fatima brode «comme toutes les jeunes filles de l’époque devaient savoir le faire» et vend le fruit de ses mains. L’orpheline est promise au fils d’une famille d’amis et se marie quelques années plus tard, “très jeune… “. C’est un homme de culture, professeur d’Arts plastiques et peintre lui-même, Hassan El Farouj, compagnon et initiateur… La dame n’est pas très loquace. «Tout a été raconté», dit-elle, avant de s’asseoir sur le tissu suranné du salon d’un modeste appartement du centre-ville de Rabat. Elle revient d’un voyage d’un an en France où elle se faisait soigner chez sa fille.
LA FACE CACHEE D’UNE VIE
C’est une histoire dont le début remonte à plus de 40 ans. Son mari manie déjà le pinceau et elle s’y frotte un beau matin. «J’ai simplement mis mes broderies en dessin, ensuite j’ai construit autour», raconte-t-elle. «A l’époque, je peignais sur du simple papier et à l’huile». Elle y travaille chaque jour et lorsqu’approche l’heure du retour de son mari, l’oeuvre est soigneusement cachée. Non par crainte, mais par modestie. Le petit jeu perdure jusqu’à ce que la hardiesse l’emporte et le tout premier tableau de Fatima El Farouj est alors présenté à Mohamed Sefrioui par son mari, son tout premier admirateur. C’est le début d’une carrière prolifique de créations et riche d’expositions nationales et internationales. L’une des légendes de la peinture marocaine contemporaine est née. Au même titre que Miloudi, Kacimi ou Châibia… amis et complices, pour beaucoup disparus et «que je ne vais pas tarder à rejoindre», Fatima El Farouj dépose sa marque, marque son temps… et tente d’ouvrir les portes d’un monde onirique dont elle seule possède les clés et n’en divulgue que difficilement le chemin.
Ses toiles sont une célébration, des noces pétulantes de couleurs et de méticulosités. Mesure, harmonie et profusion des chromies, consonance du chant et arrangement des tatouages… Ses toiles sont des partitions de vie au pays des merveilles… Elles tapissent les murs des collectionneurs comme elles égayent les couloirs des hôpitaux. Elles sont aussi accrochées sur les murs jaunis de sa demeure, sous le regard fatigué d’une artiste qui ne peint plus qu’une toile toutes les deux semaines alors qu’il ne lui fallait pas plus de "3 jours", dit-elle. Son regard s’illumine brièvement. Elle ne veut pas se changer pour prendre une photo, mais installe ses quelques dernières toiles autour d’elle. Elle veut surtout que l’entretien s’arrête. Comme sur ses toiles, elle n’a montré que la moitié d’un visage.
1945
Naissance de Fatima El Farouj
1960
Elle se marie avec le peintre Hassan El Farouj
1966
Après quelques années d’expérience personnelle, Fatima expose pour la première fois.
1994
Elle fait partie de l’exposition itinérante des femmes arabes en Amérique
2006
Fatima El Farouj peint et expose toujours.
http://www.lamarocaine.com/affichage-news.asp?v=1013
Sa "Cérémonie au henné"(acrylique sur toile, lot 83 du catalogue) était estimé entre 30 et 35 000Dhs, mise aux enchères et vendue 28000.
POUR LE PRIX APPROXIMATIF EN EUROS,DIVISER LE PRIX EN DIRHAMS(Dhs,LA MONNAIE MAROCAINE) PAR 10.
POUR VOIR LE CATALOGUE DE CETTE VENTE : http://www.eldonetchoukri.com/ffff11111.pdf
Voilà un de ses tableaux:
Jeunes berbères au bord de la rivière (source:http://www.artnet.de/Artists/LotDetailPage.aspx?lot_id=6B21EBF123853B7BFDA5D699AEB3265A)
J'avais déjà assisté à des ventes aux enchères mais ce qui m'intéressait (pas pour acheter:: même le moins cher n'était pas à ma portée) dans celle-ci, c'étaient surtout les tableaux.J'ai pu découvrir des artistes que je ne connaissais pas et en redécouvrir d'autres.
Henri Jean PONTOY (1888-1968) : Il étudie aux Beaux-Arts de Paris sous la direction de Luc-Oliver Merson. Il est dans un premier temps graveur et même musicien, puis peintre. En 1926 il obtient une bourse de voyage pour la Tunisie. La même année, il devient sociétaire du Salon Tunisien. En 1947-48 il voyage avec Majorelle en Guinée. Il s'établit au Maroc, à Fès, et expose en Afrique du Nord et au Salon de l'Afrique Française à Paris en 1947. Il devient professeur des arts et lettres au Lycée Moulay Idriss de Fès(Maroc).
(source:http://orientaliste.free.fr/biographies/artistes1n.html#P)
CF. un de ses tableaux ci-dessus.
La gravure (originale inscrite épreuve d'artiste dans la marge à gauche et signée à droite au crayon) mise en vente et intitulée "La palmeraie" était évaluée entre 6000 et 8000 Dhs, a été mise aux enchères à 5000 et a été vendue 6500 Dhs.
POUR LE PRIX APPROXIMATIF EN EUROS,DIVISER LE PRIX EN DIRHAMS(LA MONNAIE MAROCAINE) PAR 10.
POUR VOIR LE CATALOGUE DE CETTE VENTE : http://www.eldonetchoukri.com/ffff11111.pdf