Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Catégories : L'actualité, Le Maroc:vie et travail

    Casablanca: une personne active une charge explosive dans un cybercafé

    Une personne a été tuée et quatre autres ont été blessées dans une explosion dimanche soir dans un cybercafé au quartier Sidi Moumen à Casablanca, apprend-on auprès de la direction générale de la sûreté nationale (DGSN).

    "Dimanche 11 mars 2007 vers 22h, deux personnes se sont introduites dans un cybercafé sis au quartier Sidi Moumen, avenue Al Adarissa, à Casablanca, pour essayer de consulter des sites internet faisant l'apologie du terrorisme", indique la même source.

    "Empêchés par le fils du propriétaire du cybercafé, l'un des deux individus a été emporté par une charge explosive dissimulée sous ses vêtements et est décédé sur le champ tandis que l'autre, légèrement blessé, a pris la fuite avant d'être arrêté par les services de sécurité", précise-t-on de même source.


    "Le fils du propriétaire et deux autres personnes qui se trouvaient à l'intérieur du cybercafé ont été légèrement blessés et évacués sur les urgences", conclut la même source.

    Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'explosion.


    http://www.menara.ma/Infos/includes/detail.asp?article_id=7376&lmodule=Maroc

  • Catégories : La représentation des bohémiens:art et littérature

    La représentation des bohémiens dans la littérature:"Les Zigani ou Gypsies de Russie" par George Borrow ,extrait de "The Zincali" 1841

     

    Traduction libre

    (les appelations originales de Borrow : Gypsy et Zingani ont été gardées)

     

    On les trouve dans toute la Russie excepté dans la province de Saint-Petersbourg d'où ils ont été bannis. Dans la plupart des villes de province on peut en trouver à moitié civilisés et subsistant en trafiquant des chevaux ou en soignant les affections propres à ces animaux ; mais la grande majorité rejette ce mode de vie et traverse le pays en bandes comme les anciens Hamaxioboi ; les immenses plaines herbeuses de Russie leur fournissent la pâture pour leurs hordes de bétail desquels, ainsi que du produit de la chasse ils dépendent pour leur subsistance.

    Lire la suite

  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art

    Fragonard à l'honneur à Besançon

     
    Une centaine de dessins et peinture de l'artiste exposés pour la première fois, jusqu'au 2 avril 2007

    Ces oeuvres, que Besançon possède grâce aux généreux legs au XIXe siècle, sont exposés pour la première fois au musée des Beaux-Arts et d'archéologie.

    Pierre Rosenberg, historien d'art et membre de l'Académie-Française, a authentifié 93 des 123 oeuvres exposées. 

     "La gloire actuelle de Fragonard repose autant sur ses dessins que sur ses tableaux. On notera l'extraordinaire variété des techniques des dessins de l'artiste (...) comme de leurs sujets (...). On sera séduit par leur virtuosité et leur élégance, leur charme et leur spontanéité", souligne M. Rosenberg.

    Une partie des dessins a été réalisée lors des deux voyages en Italie du peintre, qui dessine, croque et saisit sur le vif ce qu'il a sous les yeux: personnages, portraits, scènes de rue, ruines antiques, paysages de la campagne romaine etc.

    Parmi les oeuvres présentées: la célèbre série des sanguines décrivant à l'été 1760 les jardins de la villa d'Este à Tivoli, près de Rome, considérée comme l'une des plus grandes réussites de l'art du dessin au XVIIIe siècle, ainsi qu'un rare portrait au pastel du peintre, l'émouvant "Portrait de vieille dame, dit de Sophie".
        
    Exposition "Les Fragonard de Besançon", musée des Beaux-Arts et
    d'archéologie de Besançon, du 8 décembre 2006 au 2 avril 2007. Tarifs: 5 et 2,50 euros. Renseignements au 03.81.87.80.49

    Publié le 08/12 à 10:19

     

    http://cultureetloisirs.france3.fr/artetexpositions/actu/26576035-fr.php

  • Catégories : Char René

    Un site sur René Char à l'occasion du centenaire de sa naissance

    Avec un alphabet pour commencer à naviguer dans l'univers de René Char,les lieux dits de la géographie poétique de Char, un espace pédagogique, des interventions (liste d'aphorismes commentés de Char), des portraits de Char.

    Pour ma part, j'ai emprunté à ce site sa chronobiographie et son agenda de l'année Char.

    http://www.poesie-en-liberte.org/actualite/le-poete-de-l-annee/accueil.html

  • Catégories : Char René

    René Char, 1907-2007, Entre Fureur et Mystère, Centenaire de sa naissance:agenda

    Janvier 2007   lundi 15 janvier : Ouverture de l'espace Char sur le site de Poésie en liberté : Entre Fureur et Mystère.
     
    Février 2007   Publication des commentaires d'aphorismes sur le site de Poésie en liberté [rubrique Interventions] et dans "Aujourd'hui poème"
     
    Mars 2007   lundi 5 mars au soir : Lancement du Printemps des poètes à l’Odéon, suivi de « Char dans toutes les langues » (dir. André Velter), puis de la projection du film de Jérôme Prieur sur la période de Char résistant (prod. Arte).

    vendredi 9 mars : Soirée THEMA « René Char » sur Arte.

    vendredi 16 mars : Les Fontaines poétiques (voir communication sur le site http://www.printempsdespoetes.com/)
     
    Avril 2007   Avril à mai : Printemps du théâtre, à l’initiative des inspections et des rectorats, dans les académies.
    Charte et inscription sur le site Educnet/theatre, [www]

     
    Mai 2007   vendredi 11 mai à Paris : Journée du Plan National de Pilotage « Dire Char »
    (cadres et enseignants engagés dans les académies)
     
    Juin 2007   jeudi 14 juin au soir : Salle Labrouste de la Bibliothèque Ste-Geneviève à Paris : soirée René Char.
     
    Juillet 2007   Au Festival d’Avignon, « Feuillets d’Hypnos » mis en scène par Frédéric Fisbach (projet en cours).
    Dans le cadre de l’accueil par les CEMEA d’élèves participant au Festival, grâce aux Régions, en partenariat avec les Rectorats, possibilité de rencontres interacadémiques (informations par les rectorats et les inspections pédagogiques régionales).
    http://www.poesie-en-liberte.org/actualite/le-poete-de-l-annee/agenda/

  • Catégories : Truffaut François

    François Truffaut:chronologie

    1932 :

    6 février : naissance à Paris de François Truffaut, fils unique de Roland Truffaut, architecte décorateur, et de Jeanine de Monferrand, secrétaire à "L'illustration". La famille Truffaut habite à Pigalle, rue Henri Monnier. François Truffaut fréquente l'école maternelle de la rue Clauzel, puis le lycée Rollin.

    1940 :

    13 décembre : sortie en exclusivité à Paris du Paradis perdu d'Abel Gance.

    medium_paradisperdu.jpg

     

     

    Premier souvenir de cinéma de François Truffaut.

    Lire la suite

  • Catégories : La représentation des bohémiens:art et littérature

    La représentation des bohémiens dans la littérature au XIX e siècle:"Les Bohémiens" d'Alexandre Pouchkine

    Des Bohémiens, troupe bruyante, vont errant en Bessarabie; aujourd'hui, sur la rive du fleuve, ils plantent leurs tentes déchirées. Douce comme l'indépendance est leur nuitée; qu'on dort bien à la belle étoile! Entre les roues des chariots, derrière des lambeaux de tapis, on voit briller le feu. La horde alentour apprête son souper. Sur le gazon, les chevaux paissent à l'aventure. Un ours apprivoisé a pris son gîte auprès d'une tente. Tout est en mouvement au milieu du désert; on part demain à l'aube et chacun fait gaiement ses préparatifs. Les femmes chantent, les enfants crient, les marteaux font résonner l'enclume de campagne. Mais bientôt sur la bande vagabonde s'étend le silence du sommeil et le calme de la steppe n'est plus troublé que par le hurlement des chiens et le hennissement des chevaux. Tout repose, leurs feux s'éteignent, la lune brille seule dans le lointain des cieux, versant sa lumière sur la horde endormie.

     Dans une tente solitaire, un vieillard ne dort point encore. Assis devant quelques charbons, et recueillant leur mourante chaleur, il regarde la plaine où s'étend le brouillard de la nuit. Sa fille est allée courir la campagne déserte. Libre enfant, elle ne connaît que son caprice. Elle reviendra... mais voici la nuit et bientôt la lune va disparaître derrière les nuages à l'horizon.

    Zemfira ne revient pas, et l'humble souper du vieillard se refroidit à l'attendre.

     Mais, la voici. Derrière elle, sur la steppe, un jeune homme s'avance ; il est inconnu au bohémien:

    - Père, dit la jeune fille, j'amène un hôte. Derrière le Kourgane là-bas dans le désert, je l'ai rencontré et je l'amène au camp pour la nuit. Il veut devenir bohémien comme nous. La justice le poursuit, mais en moi il trouvera une bonne compagne. Il s'appelle Aleko; il me suivra partout.

     LE VIEILLARD: Bien; reste jusqu'à demain à l'ombre de notre tente, plus longtemps, si tu veux. L'abri, le pain nous le partagerons. Sois des nôtres. Tu t'accoutumeras à nos façons, à notre vie errante, à la misère, à la liberté. Demain, au point du jour, un même chariot nous emportera tous les trois. Prends un métier, choisis: forge le fer ou chante des chansons en promenant l'ours de village en village.

    ALEKO: Je reste.

    ZEMFIRA: Il est à moi, qui pourrait me l'arracher? Mais il est tard. La jeune lune a disparu. La brume couvre la campagne et mes yeux se ferment malgré moi. 

    Lire la suite

  • Catégories : Des évènements, Le Maroc:vie et travail

    Mon après-midi du 14 février au Salon du Livre de Casablanca(Maroc)

    Une rdécouverte au stand de l'Institut  portugais Camoes de la culture:

    medium_camoes.jpg Luis de Camoes

    .1524, Lisboa? - 10. 06. 1580
    On en sait peu sur sa vie agitée. Considéré comme une figure majeure des lettres portugaises. Auteur de l'épopée Les Lusiades. Poète et dramaturge. L'influence de son oeuvre a marqué la production littéraire portugaise. «Camões a assumé et médité l'expérience de toute une civilisation dont il a vécu les contradictions dans sa chair et qu'il a cherchée à dépasser par sa création artistique»
    (A. J. Saraiva et O. Lopes ).
      Déjà la vue, peu à peu, se détache
    De ces monts de la patrie que nous quittions;
    Nous laissions le cher Tage et la fraîche montagne
    De Sintra, et nos yeux s'y attardaient;
    Nous laissions aussi sur la terre aimée
    Notre coeur qui était retenu par nos blessures;
    Et après que toute la terre eut disparu,
    Nous ne voyons plus finalement que la mer et le ciel.

    C'est ainsi que nous avons ouvert ces mers,
    Qu'aucune génération n'avait jamais ouvertes,
    En vue des îles nouvelles et des espaces nouveaux
    Que le généreux Henri avait découverts;
    Des monts et des places de Mauritanie,
    Terre qu'Antée a jadis possédée,
    Sur la rive gauche que nous laissions, car à droite
    Il n'y a pas de certitude mais l'espoir d'y trouver d'autres terres.

    Os Lusíadas, Canto V, 3 e 4   http://www.instituto-camoes.pt/cvc/oceanoculturas/fra/13.html
  • Catégories : Des évènements, Le Maroc:vie et travail, Pessoa Fernando

    Mon après-midi au salon du livre de Casablanca(Maroc) 10

    Une redécouverte au stand de l’Institut Camoes portugais de la culture :

    Fernando Pessoa

     

    Fernando Pessoa, qui est aujourd'hui peut-être le seul poète portugais dont la notoriété a franchi les frontières de son pays, était presque inconnu de son vivant et écrivait sous de multiples identités. Ces noms qu'il utilisait pour signer ses textes, n'étaient pas de simples pseudonymes, mais de véritables personnalités et que l'on appelle des 'hétéronymes'. Chacun des personnages qu'il faisait naître, possédait un caractère, une biographie, une date de naissance, des opinions politiques et religieuses. Pessoa en dehors de son travail poétique mena une vie modeste, effacée et sédentaire, et créa quelques revues éphémères. Il mourut en 1935, laissant derrière lui une malle contenant son oeuvre, et qui depuis n'a cessé d'être inventoriée afin de libérer tous les poèmes, endormis et inconnus, qu'elle contenait.

     

    «Dieu personnel, dieu grégaire, dieu de ceux qui croient, Existe donc afin que je puisse te haïr !»
    [ Fernando Pessoa ] - Dialogue dans la nuit


    «Toute la création est fiction et illusion. La matière est une illusion pour la pensée ; la pensée est une illusion pour l'intuition ; l'intuition est une illusion pour l'idée pure ; l'idée pure est une illusion pour l'être. Dieu est le mensonge suprême.»
    [ Fernando Pessoa ] - Traité de la négation


    «Ce que tu fais, fais-le suprêmement.»
    [ Fernando Pessoa ]
    - Ricardo Reis


    «Le monde est à qui naît pour le conquérir, et non pour qui rêve, fut-ce à bon endroit, qu'il peut le conquérir.»
    [ Fernando Pessoa ] - Bureau de tabac


    «La plupart des gens ont des sensations conventionnelles.»
    [ Fernando Pessoa ] - Ode maritime


    «J'ai tout raté. Comme j'étais sans ambition, peut-être ce tout n'était-il rien.»
    [ Fernando Pessoa ] - Bureau de tabac


    «Feindre, c'est se connaître.»
    [ Fernando Pessoa ] - Ode maritime


    «Un Dieu naît. D'autres meurent. La vérité n'est ni venue ni partie : l'Erreur seule a changé.»
    [ Fernando Pessoa ] - Noël


    «En l'appelant Dieu nous avons tout dit, puisque le mot Dieu ne possède aucun sens précis.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le livre de l'intranquillité


    «C'est l'amour qui est essentiel, le sexe n'est qu'un accident.»
    [ Fernando Pessoa ]
    - Ricardo Reis


    «Le seul mystère, c'est qu'il y ait des gens pour penser au mystère.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le gardeur de troupeaux et autres poèmes


    «Dans tous les asiles il est tant de fous possédés par tant de certitudes !»
    [ Fernando Pessoa ] - Le gardeur de troupeaux et autres poèmes


    «Quel grand repos de n'avoir même pas de quoi avoir à se reposer !»
    [ Fernando Pessoa ] - Le gardeur de troupeaux et autres poèmes


    «Tout effort est un crime, parce que toute action est un rêve paralysé.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le livre de l’intranquillité


    «La distinction réelle se fait entre adaptés et inadaptés : le reste est littérature.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le livre de l’intranquillité


    «Rien ne pèse autant que l’affection d’autrui.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le livre de l’intranquillité


    «Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le gardeur de troupeaux et autres poèmes


    «La beauté est le nom de quelque chose qui n'existe pas et que je donne aux choses en échange du plaisir qu'elles me donnent.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le gardeur de troupeaux et autres poèmes


    «C'est la liberté de tyranniser, qui est le contraire de la liberté.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le banquier anarchiste


    «L'action rapporte toujours plus que la propagande.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le banquier anarchiste


    «Celui qui refuse d'engager le combat n'y est pas vaincu. Mais il est vaincu moralement parce qu'il ne s'est pas battu.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le banquier anarchiste


    «Les choses n'ont pas de signification : elles ont une existence.»
    [ Fernando Pessoa ] - Le gardeur de troupeaux et autres poèmes

    «La littérature est la preuve que la vie ne suffit pas.»
    [ Fernando Pessoa ]

    Source : http://www.evene.fr/celebre/biographie/fernando-pessoa-1951.php?citations
  • Catégories : Nerval Gérard de

    Gérard de Nerval:"Les Chimères"

    medium_chimeres.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ce petit recueil accompagnait, en 1854, les Filles de feu.

    Ces douze sonnets sont parmi les plus mystérieux de toute la littérature française. De fait, Nerval a désiré fusionner ici ses expériences personnelles avec les préceptes de diverses doctrines ésotériques, comme si les événements qu'il vivait, comme si les amours qu'il éprouvait étaient tout autant de signes que le destin lui manifestait et qu'il se devait dès lors de couler dans la langue la plus magique et la plus hiératique qui soit.

    Depuis cent cinquante ans, les lecteurs s'interrogent donc devant ces courtes pièces, parmi les plus belles issues du romantisme français. De fait, la connaissance de la biographie de Nerval (cf. notamment les liens du poète avec Jenny Colon qui inspira Myrtho et dont les cheveux flamboyants expliquent quelques-unes des allusions au feu contenues dans le recueil); une connaissance aussi de la généalogie imaginaire du poète (cf. là-dessus les mentions à Lusignan et Biron contenues dans El Desdichado); celle de la Cabale et des mythologies égyptiennes et grecques, ne sont pas de trop pour permettre une compréhension ne serait-ce qu'approximative du recueil. Mais, étrangement, même l'intelligence imparfaite de ses vers n'empêchent pas les Chimères d'exercer une fascination véritable sur le lecteur, pour peu que celui-ci sache, à partir des intuitions de Nerval, imaginer des correspondances et des résonances nouvelles.

    http://poetes.com/nerval/chimeres.htm

    LES CHIMERES SONT LARGEMENT ETUDIES DANS MON MEMOIRE DE MAITRISE
  • Catégories : Des musées

    A propos de l'exposition Praxitèle déjà évoqué ici:Le musée d'Athènes refuse un prêt au Louvre

    medium_athenes.jpgLa Grèce a refusé de prêter au Louvre un bronze devant constituer l'un des fleurons d'une exposition parisienne

    La Grèce a fait de la préservation et du retour au pays de son patrimoine antique un cheval de bataille.

    Le musée parisien était persuadé qu'Athènes allait lui prêter cet Ephèbe de Marathon (325-300 avant JC), au point de l'avoir représenté sur les affiches de l'exposition consacrée au sculpteur Praxitèle, qui débute le 23 mars.

    Dans un communiqué, le Louvre a fait part de sa "vive stupéfaction", affirmant que la Grèce connaissait depuis avril 2005 la liste des oeuvres demandées et avoir "à deux reprises" reçu "un accord oral" pour leur prêt.

    Lire la suite

  • Catégories : Des évènements, Le Maroc:vie et travail

    Mon après-midi du 14 février au Salon du Livre de Casablanca(Maroc) 8

    medium_redon.jpg

    Pour le plaisir des yeux encore…

     

    Odilon Redon
    sa vie, son oeuvre (1840-1916)


    Jean Vialla

    Livre broché, 18,00 EUR
    192 pages   190 mm x 130 mm x 10 mm


    ACR :
         voir son catalogue sur Bief.org

    Date de parution : 25 octobre 2001

    ISBN-10 : 2-86770-150-3
    ISBN-13 : 978-2-86770-150-4

    GENRE : Livres en format poche

    RESUME : Redon appartient à la génération des impressionnistes, mais on a pensé à le rattacher au symbolisme, dans le sillage de Moreau, alors que lui-même se trouvait différent de ce peintre. Sans être vraiment compris de son temps, il a travaillé à rétablir la plénitude de l'art et de l'homme, alors que ses contemporains et ses successeurs se sont souvent enfoncés dans des voies unilatérales.  

    Cf dans ma catégorie « expositions », l’expo qui lui est consacré à Francfort

     

    Source :http://www.bief.org/index.cfm?fuseaction=C.Titre&Tid=6183&E=250

     
  • Catégories : Des évènements, Le Maroc:vie et travail

    Mon après-midi du 14 février au Salon du Livre de Casablanca(Maroc)11

    Au stand des éditions marocaines Senso Unico(Mohammedia).

     

     

    Je m’arrête et le responsable du stand me dit de m’asseoir pour regarder tranquillement les beaux-livres qu’il édite :

     

    -Le voyage du Sultan Moulay Hassan au Tafilalt de Amina Aouchar

     

    Illustré par une abondante iconographie puisée dans les archives et des photographies de Franco d’Alessandro, ce beau livre raconte le long voyage du Sultan Moulay Hassan, du 29 juin au 28 décembre 1893, qui le mène de Fès au Tafilalt et du Tafilalt à Marrakech en passant par le sud de l’Atlas. Le récit de cette merveilleuse aventure dans l’espace et dans le temps offre l’occasion au lecteur de découvrir des paysages éblouissants et lui permet l’approche d’une histoire riche et passionnante.


    Mémoire

    Ainsi, ce livre montre comment on voyageait dans le Maroc du XIX e siècle, en décrivant la Cour de Moulay Hassan, les dignitaires, le protocole, l’organisation du camp royal, les offrandes au Sultan, les fêtes religieuses célébrées au cours du déplacement. L’historienne Amina Aouchar reconstitue une partie de la mémoire du pays étape après étape. Grâce à son sens de l’harmonie entre le détail et l’ensemble, l’auteur esquisse le portrait d’un homme remarquable et suggère la signification profonde de l’œuvre qu’il a accomplie.
    En se basant sur les témoignages des Marocains et des étrangers qui prirent part à ce voyage, sur les lettres officielles du Sultan ainsi que sur les comptes-rendus des membres de la Cour et les notes des topographes qui inspectaient les itinéraires, Amina Aouchar raconte cette extraordinaire expédition dans style clair, agréable, révélateur d’une nouvelle manière d’approcher l’histoire, qui se veut aussi la plus objective possible.
    Elle trace un chemin, un parcours sur lequel le lecteur attentif ne pourra manquer de s’arrêter pour une observation, un commentaire, un regard.
    " Le voyage du Sultan Moulay Hassan au Tafilalt" de Amina Aouchar est le premier né de Senso Unico Editions. L’inspiratrice de cette nouvelle maison d’édition, Illeana Marchesani, n’est pas à sa première expérience car, en douze ans d’activité éditoriale, elle a coordonné quelques-uns parmi les plus beaux livres publiés au Maroc. Entourée de collaborateurs de premier ordre, elle a suivi chaque étape de la réalisation de ce livre, veillant au moindre détail, pour offrir un ouvrage particulièrement beau et raffiné, fruit d’une opération éditoriale très sophistiquée.
    En témoignent le choix du papier n, la très élégante conception graphique signée par Ernesto Angiolini, et la reproduction remarquables des quadrichromies.

     

    Source:medium_sultan.2.jpghttp://www.maroc-hebdo.press.ma/MHinternet/Archives_585/html_585/culture.html

    Lire la suite

  • Catégories : Des évènements, Le Maroc:vie et travail

    Mon après-midi du 14 février au Salon du Livre de Casablanca(Maroc)

    medium_femme.2.jpgThornton, Lynne. La Femme dans la Peinture Orientaliste. Paris: ACR PocheCouleur, 1994.





    Extrait abrégé :





    Dès le début du dix-huitième siècle, les histoires pleines de verve et hautes en couleurs racontées par Schéhérazade dans Alf Layla wa Layla, mieux connu en Europe sous le titre des Mille et Une Nuits ou The Arabian Nights, jouirent en Occident d’un succès considérable qui se prolongea jusque dans les années 1920. Bien que les contes soient marqués d’une forte spiritualité, les thèmes de sexualité, d’amour et de violence, d’humour et de ruse transmirent l’image indélébile d’un monde oriental poétique, érotique et brutal. Et les califes, les vizirs, les odalisques et les eunuques qui paradent d’une page à l’autre devinrent des clichés du répertoire orientaliste. La première traduction française—expurgée—due à Antoine Galland s’empara de l’imagination du public lors de sa parution en 1704. […]


    Toutefois, ce sont à nouveau Les Mille et Une Nuits qui relancèrent l’engouement pour l’Orient au début [du vingtième siècle]. La traduction anglaise des contes, sage et peu inspirée (1838-40), de l’égyptologue Edward Lane avait été suivie de celle, vigoureuse et brillante, de l’arabisant Richard Burton. […] C’est pourtant la nouvelle traduction française du Dr Joseph-Charles Mardrus, publiée en seize volumes de 1988 à 1904, qui fit l’effet d’une bombe sur la mode, le ballet, le théâtre et l’illustration des livres. […] Sa version de Alf Laylah wa Laylah fut illustrée par Léon Carré et, en Angleterre, par Edmund Dulac, tous deux s’inspirant des miniatures islamiques et indiennes à l’art thibétain et japonais. […]


    De tous les opéras, les spectacles de marionnettes, les revues musicales, les pièces et les films inspirés par Les Mille et Une Nuits, c’est le ballet Schéhérazade, présenté à Paris par Serge Diaghilev en 1910, qui exerça l’influence la plus grande. Les splendeurs exotiques des décors et des costumes de Léon Bakst, aux violentes combinaision de couleurs : émeraude et orange, indigo et géranium, vermillon et rose, furent une révélation pour le public habitué à des tons pastels assourdis. Jamais spectateurs occidentaux n’avaient été exposé à de telles couleurs orgiaques, à des sauts aussi frénétiques, à cette sensualité exotique. […]





    Source :http://www.unc.edu/depts/europe/francophone/1001_nights/1001_fr/ThorntonFR.pdf




    image : http://www.acr-edition.com/ASP/Coll_ouvrages.asp?id_collection=5&offset=-1




    medium_vo.2.jpgDu Maroc aux Indes
    voyages en Orient



    Lynne Thornton

    Livre relié, 89,00 EUR
    324 pages 300 mm x 270 mm x 38 mm


    ACR :
    voir son catalogue sur Bief.org

    Date de parution : 12 septembre 1998

    ISBN-10 : 2-86770-117-1
    ISBN-13 : 978-2-86770-117-7

    GENRE : Beaux Livres

    RESUME : "De toutes les débauches possibles, le voyage est la plus grande que je sache", écrivit Gustave Flaubert. Des extraits des récits de voyages en Orient de grands auteurs des XVIIIe et XIXe siècles, illustrés par des oeuvres de peintres orientalistes. En introduction, une présentation générale des conditions de voyage de l'époque.





    Source : http://www.bief.org/index.cfm?fuseaction=C.Titre&Tid=3355&E=250