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  • Catégories : Des lieux, Des musées, Des poètes et poétesses, La poésie, Verlaine Paul

    Musée Verlaine à Juniville

    " Notre essai de culture eut une triste fin,

    Mais il fit mon délice un long temps et ma joie  " (Paul Verlaine)

    Verlaine quitte l'institution Notre Dame à Rethel en août 1879, où il enseignait depuis la rentrée 1877.

    Là, il s'est pris d'affection pour un de ses éléve, Lucien Létinois, originaire de Coulommes, village situé à 14 Kms de Rethel. En pleine période mystique, Verlaine décide de faire de Lucien le "fer de lance" de sa rédemption, Létinois sera le remplacant de son fils Georges et l'inverse de Rimbaud, il en fera "un bon catholique et un bon citoyen".

    Après un bref séjour en Angleterre, tous deux rentrent à Coulommes où "Verlaine redécouvrit la campagne française..., sa sérénité, son rythme lent, ses horizons apaisants. L'idée lui vint d'acquérir une exploitation rurale et de s'y retirer en gentilhomme : poète et paysan". (P.Petitfils. VERLAINE)

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  • Catégories : Livre

    La dernière demeure d’Alain-Fournier

    medium_alain.jpg

    Alain-Fournier et ses compagnons d’arme, une archéologie de la Grande guerre, c’est un peu Un long dimanche de fiançaille et un peu d’un roman de Patricia Cornwell, avec ce qu’il faut d’analyses « post-mortem » en texte et en images.
    C’est l’histoire humble et passionnante de la découverte en 1991 du corps de l’écrivain et de ses vingt compagnons d’arme, tués sur le front le 22 septembre 1914.

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  • Catégories : La peinture

    "Ste. Catherine d' Alexandrie" de Raphael

    medium_raphae17.jpg

    • 1483 : Raphaël né le 6 avril à Urbino,en Ombrie, Italie.
      Son père di Sante di Pietro, ou Giovanni Sanzio, est peintre et poète officiel de la cour de Frederico Montefeltre, un des princes les plus célèbres et protecteur des arts de la Renaissance en Italie. Urbino est un foyer artistique réputé à l’aube du XVIe siècle. Les capacités d'assimilation, d'imitation et son habileté font de l'artiste un surdoué.

    • 1494 : Mort du père de Raphaël, trois ans après son épouse. Ce dernier n'a que onze ans. L'enseignement reçu par le jeune garçon demeure fort imprécis. Nombreux sont les historiens à estimer qu'il a été l'élève du Pérugin, à Pérouse, sans doute vers 1499-1500.

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  • "Carmen" de Théophile Gautier dans "Emaux et camées"

    Carmen est maigre - un trait de bistre
    Cerne son oeil de gitana ;
    Ses cheveux sont d'un noir sinistre ;
    Sa peau, le diable la tanna.

    Les femmes disent qu'elle est laide,
    Mais tous les hommes en sont fous ;
    Et l'archevêque de Tolède
    Chante la messe à ses genoux ;

    Car sur sa nuque d'ambre fauve
    Se tord un énorme chignon
    Qui, dénoué, fait dans l'alcôve
    Une mante à son corps mignon,

    Et, parmi sa pâleur, éclate
    Une bouche aux rires vainqueurs,
    Piment rouge, fleur écarlate,
    Qui prend sa pourpre au sang des coeurs.

    Ainsi faite, la moricaude
    Bat les plus altières beautés,
    Et de ses yeux la lueur chaude
    Rend la flamme aux satiétés.

    Elle a dans sa laideur piquante
    Un grain de sel de cette mer
    D'où jaillit nue et provocante,
    L'âcre Vénus du gouffre amer.

    http://poesie.webnet.fr/poemes/France/gautier/5.html

  • Catégories : La peinture

    "Les noces de Cana" de Véronèse

    medium_noces_20de_20cana.jpg

    Les Noces de Cana (1562-63)
    (9,90 x 6,66)

    Le troisième jour, il y eut une noce à Cana de Galilée. La mère de Jésus était là. Jésus aussi fut invité à la noce ainsi que ses disciples. Le vin venant à manquer, la mère de Jésus lui dit " Ils n’ont pas de vin ". Jésus lui dit " Que me veux-tu, femme ? Mon heure n’est pas encore venue. " Sa mère dit aux serviteurs : " Faites ce qu’il vous dira ."

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  • Catégories : Les polars

    Frances Fyfield, "Sommeil de mort"(Pour Ambroise)

    medium_sommeil_de_mort.jpg

    (http://www.amazon.fr)

    Helen est intriguée par la mort prématurée d'une femme pendant son sommeil. Alors que l'ensemble de la population de ce quartier de l'Est londonien apporte son soutien au pharmacien veuf, Helen lance une enquête qui révèle une dose de chloroforme dans le sang de la victime. Aidée par Geoffrey, Helen va révéler au grand jour les secrets du pharmacien.

    Helen West est procureur de la Couronne à Londres, en charge des crimes sexuels. Efficace, intelligente et intuitive, elle n'en conserve pas moins une certaine distance avec ses dossiers, préférant de ne pas trop s'investir auprès des victimes. Âgée d'une quarantaine d'années, elle entretient une relation amicale et légèrement passionnée avec sa secrétaire Rose, entière et excessive. Relation en tous les cas nettement plus passionnée que celle qu'elle entretient avec son "fiancé", Geoffrey Bailey, policier de son état, qui rend bien d'ailleurs à sa dulcinée une certaine froideur.

    Frances Fyfield a une conception très personnelle du roman policier, plus proche de la broderie anglaise que du thriller. Elle jette sur le tapis une myriade de personnages, sans rapports apparents entre eux. Pas pressée de nous dévoiler ce qu'elle a en tête, l'intrigue tarde à venir, réduisant le lecteur à la victime consentante d'un colin-maillard brumeux. Entre temps, Frances Fyfield développe avec un certain brio toute une galerie de personnages, dévoilant avec ingéniosité et psychologie le fond des cœur, pas toujours très joli à regarder. C'est sans doute là, dans cette galerie de personnages qui "sonnent" vrai qu'il faut chercher la raison de son succès. L'écriture n'est pas tendre, piquée de méchants coups de dents, à l'image de ses personnages, toujours sur leur garde, consumés de frustration.

    Parallèlement à Helen West, Frances Fyfield développe un autre personnage, Sarah Fortune, avocate. La trame de fond et la construction sont identiques, le personnage de Sarah, belle avocate glacée, dans la droite ligne de son aînée.

    (http://www.polarfeminin.com)

  • Catégories : L'Ariège(09, Midi-Pyrénées):vie

    La grotte de Niaux(en Ariège)

    medium_niaux2.jpgLa grotte de Niaux: Datant de l'époque magdalénienne, elle a fait connaitre l'Ariège dans le monde entier. C'est la plus grande grotte ornée avec celles de Lascaux et d'Altamira. Musée très fragile, sa visite est limitée au "salon noir", hémicycle aux parois couvertes de dessins au trait noir. Les autres parties, comme le réseau Clastres, ne sont pas accessibles. Pour visiter la grotte il faut faire une résérvation par téléphone au 05 61 05 88 37. Par contre, des réproductions des oeuvres de Niaux sont visibles dans leur intégralité au Parc Pyrénéen de l'Art préhistorique à Tarascon sur Ariège.

     

    http://www.ariege.com/francais/que_visiter/prehistoire/info.html

  • "Crépuscule" de Guillaume Apollinaire

    Frôlée par les ombres des morts
    Sur l'herbe où le jour s'exténue
    L'arlequine s'est mise nue
    Et dans l'étang mire son corps


    Un charlatan crépusculaire
    Vante les tours que l'on va faire
    Le ciel sans teinte est constellé
    D'astres pâles comme du lait


    Sur les tréteaux l'arlequin blême
    Salue d'abord les spectateurs
    Des sorciers venus de Bohême
    Quelques fées et les enchanteurs


    Ayant décroché une étoile
    Il la manie à bras tendu
    Tandis que des pieds un pendu
    Sonne en mesure les cymbales


    L'aveugle berce un bel enfant
    La biche passe avec ses faons
    Le nain regarde d'un air triste
    Grandir l'arlequin trismégiste

    http://francais.agonia.net/index.php/poetry/69645/index.html

  • Catégories : Des femmes comme je les aime, La littérature

    Liane de Pougy

    medium_250px-Pougy_2C_Liane_de.jpg

    Anne-Marie Chassaigne, dite Liane de Pougy, Madame Henri Pourpre puis, par son second mariage, princesse Georges Ghika, est une danseuse et courtisane de la Belle Époque, née le 2 juillet 1869 à La Flèche (Sarthe) et morte à Lausanne (Suisse) le 26 décembre 1950.

    Sommaire

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  • Catégories : Des poètes et poétesses

    Walt Whitman

    medium_whitman.2.jpgNé à Long Island, dans l’État de New York, cet homme du peuple, menuisier à ses heures, produisit une œuvre novatrice, brillante, exprimant l’esprit démocratique du pays. C’était un autodidacte qui avait abandonné l’école à l’âge de onze ans pour travailler. Il lui manqua donc l’instruction traditionnelle qui faisait de la plupart des auteurs américains des imitateurs respectueux des Anglais. Son recueil, Feuilles d’herbe (1855), qu’il réécrivit et révisa pendant toute sa vie, contient le « Chant de moi-même », poème le plus original qu’ait jamais écrit un Américain. Les éloges enthousiastes d’Emerson et de quelques autres pour ce volume audacieux confirmèrent au poète sa vocation, même si le livre ne connut pas un grand succès auprès du public.

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  • Catégories : Lamartine Alphonse de

    Alphonse de Lamartine:La providence à l'homme (Méditations poétiques)

    Quoi ! le fils du néant a maudit l'existence !
    Quoi ! tu peux m'accuser de mes propres bienfaits !
    Tu peux fermer tes yeux à la magnificence
    Des dons que je t'ai faits !

    Tu n'étais pas encor, créature insensée,
    Déjà de ton bonheur j'enfantais le dessein ;
    Déjà, comme son fruit, l'éternelle pensée
    Te portait dans son sein.

    Oui, ton être futur vivait dans ma mémoire ;
    Je préparais les temps selon ma volonté.
    Enfin ce jour parut; je dis : Nais pour ma gloire
    Et ta félicité !

    Tu naquis : ma tendresse, invisible et présente,
    Ne livra pas mon oeuvre aux chances du hasard ;
    J'échauffai de tes sens la sève languissante,
    Des feux de mon regard.

    D'un lait mystérieux je remplis la mamelle ;
    Tu t'enivras sans peine à ces sources d'amour,
    J'affermis les ressorts, j'arrondis la prunelle
    Où se peignit le jour.

    Ton âme, quelque temps par les sens éclipsée,
    Comme tes yeux au jour, s'ouvrit à la raison
    Tu pensas; la parole acheva ta pensée,
    Et j'y gravai mon nom.

    En quel éclatant caractère
    Ce grand nom s'offrit à tes yeux !
    Tu vis ma bonté sur la terre,
    Tu lus ma grandeur dans les cieux !
    L'ordre était mon intelligence ;
    La nature, ma providence ;
    L'espace, mon immensité !
    Et, de mon être ombre altérée,
    Le temps te peignit ma durée,
    Et le destin, ma volonté !

    Tu m'adoras dans ma puissance,
    Tu me bénis dans ton bonheur,
    Et tu marchas en ma présence
    Dans la simplicité du coeur;
    Mais aujourd'hui que l'infortune
    A couvert d'une ombre importune
    Ces vives clartés du réveil,
    Ta voix m'interroge et me blâme,
    Le nuage couvre ton âme,
    Et tu ne crois plus au soleil.

    " Non, tu n'es plus qu'un grand problème
    Que le sort offre à la raison ;
    Si ce monde était ton emblème,
    Ce monde serait juste et bon. "
    Arrête, orgueilleuse pensée ;
    A la loi que je t'ai tracée
    Tu prétends comparer ma loi ?
    Connais leur différence auguste
    Tu n'as qu'un jour pour être juste,
    J'ai l'éternité devant moi !

    Quand les voiles de ma sagesse
    A tes yeux seront abattus,
    Ces maux, dont gémit ta faiblesse,
    Seront transformés en vertus,
    De ces obscurités cessantes
    Tu verras sortir triomphantes
    Ma justice et ta liberté;
    C'est la flamme qui purifie
    Le creuset divin où la vie
    Se change en immortalité !

    Mais ton coeur endurci doute et murmure encore ;
    Ce jour ne suffit pas à tes yeux révoltés,
    Et dans la nuit des sens tu voudrais voir éclore
    De l'éternelle aurore
    Les célestes clartés !

    Attends; ce demi-jour, mêlé d'une ombre obscure,
    Suffit pour te guider en ce terrestre lieu :
    Regarde qui je suis, et marche sans murmure,
    Comme fait la nature
    Sur la foi de son Dieu.

    La terre ne sait pas la loi qui la féconde ;
    L'océan, refoulé sous mon bras tout-puissant,
    Sait-il comment au gré du nocturne croissant
    De sa prison profonde
    La mer vomit son onde,
    Et des bords qu'elle inonde
    Recule en mugissant ?

    Ce soleil éclatant, ombre de ma lumière.
    Sait-il où le conduit le signe de ma main ?
    S'est - il tracé soi-même un glorieux chemin ?
    Au bout de sa carrière,
    Quand j'éteins sa lumière,
    Promet-il à la terre
    Le soleil de demain?

    Cependant tout subsiste et marche en assurance.
    Ma la voix chaque matin réveille l'univers !
    J'appelle le soleil du fond de ses déserts
    Franchissant la distance,
    Il monte en ma présence,
    Me répond, et s'élance
    Sur le trône des airs !

    Et toi, dont mon souffle est la vie;
    Toi, sur qui mes yeux sont ouverts,
    Peux-tu craindre que je t'oublie,
    Homme, roi de cet univers ?
    Crois-tu que ma vertu sommeille ?
    Non, mon regard immense veille
    Sur tous les mondes à la fois !
    La mer qui fuit à ma parole,
    Ou la poussière qui s'envole,
    Suivent et comprennent mes lois.

    Marche au flambeau de l'espérance
    Jusque dans l'ombre du trépas,
    Assuré que ma providence
    Ne tend point de piège à tes pas.
    Chaque aurore la justifie,
    L'univers entier s'y confie,
    Et l'homme seul en a douté !
    Mais ma vengeance paternelle

    Confondra ce doute infidèle
    Dans l'abîme de ma bonté.

    CITE DANS MON TRAVAIL UNIVERSITAIRE SUR "les paysages chez Lamartine"

  • Paul Verlaine:"Résignation" dans la section "Melancholia" des "Poèmes saturniens"

    medium_Alma-Tadema-roseofheliogabalus.jpgTout enfant, j'allais rêvant Ko-Hinnor,
    Somptuosité persane et papale,
    Héliogabale et Sardanapale !

    Mon désir créait sous des toits en or,
    Parmi les parfums, au son des musiques,
    Des harems sans fin, paradis physiques !

    Aujourd'hui, plus calme et non moins ardent,
    Mais sachant la vie et qu'il faut qu'on plie,
    J'ai dû refréner ma belle folie,
    Sans me résigner par trop cependant.

    Soit ! le grandiose échappe à ma dent,
    Mais, fi de l'aimable et fi de la lie !
    Et je hais toujours la femme jolie,
    La rime assonante et l'ami prudent.

    http://www.mag4.net/Verlaine/poemes/resignation.html

  • Catégories : Des concours de poèmes

    Communic'art

    medium_concours_communic_art.jpg

    J’ai participé à un concours de poèmes dans le cadre du Concours des Arts Trandisciplinaires organisé par Communic’art pour sa biennale internationale 2007 " la Nature dans tous ses Arts" et dans le cadre de son projet humanitaire international "un Enfant, un Arbre, une Forêt", soutenu par l'UNESCO et la ville de Paris.

    Le concours est ouvert aux artistes du monde entier, sans limite d'âge. La date limite de participation est fixée au 31 décembre 2006.
    Jusqu'à cette date, les artistes souhaitant participer doivent renvoyer le bulletin d'inscription de la catégorie de concours choisie, muni d'un chèque de 30€ pour les frais de participation.
    Les oeuvres des artistes seront exposées dans la galerie virtuelle Internet de Communic'Art, du 1er février 2006 au 31 janvier 2007.
    Du 1er au 28 février 2007, le jury procédera à la sélection des meilleures oeuvres.


    Les trois poèmes que j’ai envoyés se trouvent à la page suivante :


    http://www.communic-art.com/main/r_galerie/galerie_concours2007/poesie1.html

     

     

  • Paul Verlaine, "Nevermore" dans la section "Melancholia" des "Poèmes saturniens"

    medium_guillaumin-valhubertparis.2.jpgSouvenir, souvenir, que me veux-tu ? L'automne
    Faisait voler la grive à travers l'air atone,
    Et le soleil dardait un rayon monotone
    Sur le bois jaunissant où la bise détone.
     
    Nous étions seul à seule et marchions en rêvant,
    Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent.
    Soudain, tournant vers moi son regard émouvant :
    "Quel fut ton plus beau jour ?" fit sa voix d'or vivant,
     
    Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique.
    Un sourire discret lui donna la réplique,
    Et je baisai sa main blanche, dévotement.
     
    - Ah ! les premières fleurs, qu'elles sont parfumées !
    Et qu'il bruit avec un murmure charmant
    Le premier "oui" qui sort de lèvres bien-aimées !

     

    http://www.mag4.net/Verlaine/poemes/nevermore.html

  • Catégories : Runge Philipp Otto

    Runge et Brentano (Pour ceux et celles qui aiment la littérature et la peinture)

    En 1810, il fait la connaissance du poète Brentano, qui lui confie le projet d’illustrer : « Il [Brentano] espérait une collaboration plus intime, que l'art de ce peintre lui semblait apte à réaliser. Il voulait que, là où la parole ne suffirait plus à créer le prolongement mythique, le dessin intervînt, et dessin ornemental, ces arabesques par lesquelles Runge se rattache à l'art baroque.  Il s'agissait, explique-t-il au peintre, de souligner par ses dessins les rapports étroits entre certaines situations, racontées par le poème, et des « constellations invisibles »; d'évoquer leur continuelle référence aux mythes chrétiens du monde supérieur et du monde inférieur, sans toutefois en parler explicitement. » (Albert Béguin, L’âme romantique et le rêve).

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  • Catégories : "Carpe diem"

    John Milton

    medium_150px-John_Milton_-_Project_Gutenberg_eText_13619.2.jpg« Si vous laissez passer l’heure, rose oublié,
    Sur la tige, elle sèche et la fleur s’alanguit.
    L’orgueil de la Nature est la Beauté,
    Spectacle Qui doit s’offrir aux cours
    Aux fêtes, aux festins…

    Comus, John Milton

  • Catégories : La poésie

    Une salve d'avenir

    "L'espoir, anthologie poétique" poèmes inédits.
    Préface d'Edgar Morin, Gallimard, 2004.

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    (http://decitre.fr)

    Je tiens à ce livre d'abord pour ce qu'il est et ensuite parce que je l'ai gagné au concours du "Printemps des poètes 2004" à Mantes-la-Ville